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Un jour tu ris, un jour tu pleurs
Un jour toute en joie,un jour tout en tristesse
Un jour tu prends le chemin qui te plais
Un jour tu t'en éloignes à jamais
Tu cris de joie quand le soleil éclaire ton nom
Tu cris de douleur quand le soleil se cache à l'horizon
Ta pensée égare ton âme à l'horizon de ta vision
Ta pensée demeure visible dans le ciel de l'émotion
Hélène
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Merci à mon amie Christiane de Charleroi pour ces photos
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La collégiale Sainte-Waudru de Mons est une église de style gothique brabançon dédiée à sainte Waudru, la patronne de la ville de Mons (Belgique). Commencés en 1450, les travaux s'arrêtèrent en 1621, sans que l'église soit jamais achevée. Elle est classée au patrimoine majeur de Wallonie.
Histoire
La construction de l'édifice fut décidée par le chapitre de Sainte-Waudru : les travaux ont débuté en 1450 et ont duré 241 ans. Les plans primitifs ont été établis par des architectes montois et Mathieu de Layens,natif de Soignies, entre autres, plans dont les constructeurs ultérieurs ne se sont pas écartés, ce qui donne au bâtiment son harmonie.
L'actuelle collégiale succédait à d’autres édifices qui occupaient le lieu depuis le VIIe siècle, époque de la fondation par sainte Waudru du premier ermitage. Son plan est en forme de croix latine ; sa longueur est de 115 mètres pour 32 mètres de largeur. À la clef de voûte, elle atteint 24,5 mètres de hauteur. Le chœur est entouré d’un déambulatoire et de 15 chapelles rayonnantes. Les matériaux ayant servi à sa construction sont le grès, la pierre bleue et la brique.
La construction d’un clocher de 190 mètres de haut était prévue à l’origine : elle fut entamée en 1548, mais après de multiples péripéties, les travaux cessèrent en 1691 à hauteur du toit1. Le fait est devenu depuis lors proverbial : quand quelque chose met du temps à prendre fin, les Montois disent : « C'est la tour de Sainte-Waudru, on n'en verra pas le bout ! »
Lors de la Révolution française, l’église fut notamment transformée en écurie et faillit être démolie. À partir de 1803, elle est rendue au culte non plus comme paroisse personnelle des chanoinesses, mais comme paroisse principale de la ville de Mons, rôle autrefois dévolu à Saint-Germain, une église contiguë à Sainte-Waudru, qui fut rasée en 1799.
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Devant ma porte les feuilles tombent
Quel décor vraiment gracieux
La douceur des couleurs d'automne
fait vibret mon coeur et mes yeux
Avec cette saison je rêve
j'ai un peu de mélancolie
Les beaux dimanches d'été s'achèvent
d'automne toujours chang ma vie
Dernière randonnée dans la plaine
Avant la venue des grands froids
Déjà d'autre saison s'amène
Le rideau se ferme une autre fois
Dans la nature le ruisseau chante
Mais il se voit bien délaissé
La fleur frileuse maintenant tremble
L'oiseau s'en va,seul, se réchauffer
La douceur des couleurs d'automne
Fait vibrer mon coeur et mes yeux
Un regard, une pensée, déjà m'abandonne
Nostalgie, le rêve devient frileux.......
"Moa"
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Le centre catholique Albert-Decourtray encourage l’esprit d’ouverture, d’accueil et de recueillement. Son architecture reflète les principes catholiques, chers à celui qui a été l’évêque de Dijon.
Quand on lève les yeux, la croix se dessine dans le ciel plusieurs rues avant d’arriver au centre catholique Albert-Decourtray. Sur la place Granville, le bâtiment est mis en valeur par la grande esplanade qui lui fait face et s’apparente à un lieu de rassemblement.
Réunir. C’est bien ce que désirait Albert Decourtray, évêque de Dijon de 1971 à 1981. Le religieux était défini comme un homme d’ouverture et de dialogue. C’est justement ces deux principes qu’a voulu illustrer l’architecte Jean-François Picoche en construisant le centre. Car oui, il s’agit bien d’un centre et non juste d’une église.
Les 911 m² du bâtiment ont été construits pour accueillir un lieu de culte mais aussi des salles pour la pratique et l’enseignement de la religion catholique.
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