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Pignans est situé au pied du Massif des Maures, dominé du haut de ses 780m d'altitude par la Chapelle de Notre Dame des Anges, elle donne le meilleur point de vue panoramiquede toute la région.
Le village est petit, charmant, et offre beaucoup de fraîcheur l'été grâce à ses 16 fontaines ruisselantes et à ses très nombreux platanes qui apportent l'ombre sur les petites places etles ruelles étroites.
Pignans conserve de son passé historique une église gallo-Romaine, la tour de l'Horloge sarrazine qui porte un campanile et l'Hôtel de Ville (1682) qui fut l'ancienne demeure deJules GERARD célèbre chasseur né en 1817, surnommé le tueur de lions (il a inspiré Alphonse DAUDET pour son personnage Tartarin de TARASCON).
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Collobrières est une commune située au cœur du Massif des Maures. Le village n'est relié que par une seule route qui va de Pierrefeu-du-Var à Grimaud. Il est traversé par
le Réal Collobrier, petit cours d'eau où l'on trouve des chevesnes, du barbeau méridional, du vairon ainsi que de nombreuses couleuvres d'eau et quelques tortues cistude.
Le village est entouré de vignes. De profondes forêts de châtaigniers et de chênes lièges le surplombent.
Collobrières s'écrit Colobrièras en provençal selon la norme classique et Couloubrièro selon la norme mistralienne.
Le village de Collobrières est considéré comme la « capitale de la châtaigne ». Une fabrique de marrons glacés y est implantée depuis plusieurs décennies. La Fête de la
Châtaigne y est célébrée les trois derniers dimanches d'octobre de chaque année et offre à ses quelques milliers de visiteurs marché artisanal, course pédestre et animation
s en tous genres.
Collobrières a été fondée au XIIe siècle. Elle possède d'ailleurs un pont en pierres de cette époque (le Pont Vieux) et une église actuellement en rénovation (l'église Saint-Pons).
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- appellation usuelle: les Gardois ou Gardiòu en provençal ; Fraxinois et Fraxinoises que l'on peut retrouver dans le nom de certains commerces locaux sont plus souvent
- utilisés par les habitants que "Gardois" dans le langage courant.
- appellation étymologique: les "Fraxinetains" et "Fraxinetaines" d'après la racine latine d'origine "Fraxinetum". Le Fraxinet désigne le site sur lequel a été édifié
- le vieux Fort sarrasin aujourd'hui appelé Fort-Freinet; il a ensuite donné son nom au village construit sur l'emplacement du poste de garde qui contrôlait l'accès
- vers le Fort
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IXe siècle : traditionnellement, on localise le lieu d'implantation des Sarrasins en Provence occidentale dans les années 890 à la Garde-Freinet. Ce lieu est aussi évoqué
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sous d'autres patronymes dont celui de Fraxinet1 ou Fraxinetum.
L'histoire rapporte que c'est le comte de Provence Guillaume Ier dit le Liberateur qui chasse les Sarrasins en 973 après sa victoire à la bataille de Tourtour après 80
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années de présence Omeyyade au sud de l'actuelle France.
Philippe Sénac en s’appuyant sur les sources arabes et les données de l’archéologie, montre combien le Fraxinet, ne constituait pas un simple repère de brigands mais
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un emplacement stratégique pour les musulmans qui semblaient vouloir « entraver les relations entre les cités marchandes italiennes et le reste de la chrétienté méridionale ».
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Toujours selon Philippe Sénac il n'est pas « du tout exclu que le Fraxinet ait été le théâtre d'une symbiose communautaire, ce qui tendrait à expliquer sa longévité ».
XIIe siècle : à 450 m d'altitude, on découvre le Fort Freinet (XIIe au XVIe siècles) et les vestiges d'un ancien village fortifié du Moyen Âge, constitué d'une trentaine
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d'habitations taillées dans la roche. Ils dominent le massif forestier des Maures sur la voie reliant la vallée de l'Argens et le golfe de Saint-Tropez. Actuellement
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des fouilles archéologiques ainsi que des restaurations par des bénévoles sont en cours afin de connaître et préserver ce patrimoine. Ce fort stratégique, classé monument
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historique, servait à contrôler le passage entre la vallée du Vidauban et le Golfe de Grimaud. Une grande fosse servait de réservoir d'eau.
XIIIe siècle : les habitants s'installent sur le col de la Garde. Le bourg devient : « La Garde du Freinet ». Un Rostagni (?-v.1341) était connu pour être seigneur de
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Châteaudouble (1324) et de La Garde-Freinet (1327). Il reçut donation de l'albergue de ces deux villages.
XIXe siècle : l'industrie du bouchon se développe avec près de 700 bouchonniers grâce à la forêt de chênes-liège. À cette époque, la production de marrons et de magnan
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(ver à soie) est également bien développée.
En 1900, l'abbé Mathieu dresse la croix des Maures (altitude 437 m), restaurée en 1978. Le Christ pesait 175 kg.
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Cuers est desservi par plusieurs grandes routes régionales et nationales : la route départementale RN97, CD43, CD14, autoroute A57. L'une des deux barrières de péage
de cette autoroute est implanté à Cuers. L'aéroport le plus proche est celui de Toulon-Hyères. La gare TGV la plus proche est celle de Toulon. Toutefois, la commune partage
une gare,avec sa voisine, Pierrefeu-du-Var, pour les liaison TER
De nombreuses traces d'occupation humaine ont été retrouvées sur le territoire communal, les plus anciennes remontant à 2500 av. J.-C.. Les Ligures, puis les Romains,
s'installèrent
ensuite dans la région de Cuers, laissant notamment les traces de trois camps romains, et d'un oppidum en haut de la Barre de Cuers
Afin d'échapper aux invasions sarrasines, fréquentes dans la région au VIIIe siècle, les habitants du village se réfugient dans les environs ; ils donnent ainsi naissance
aux hameaux de
Valcros et Saint-Laurent. Le territoire faisait alors partie du Comté de Fréjus. Les terres passent ensuite dans les mains du vicomte de Marseille, aux alentours de 970,
qui en fit don aux moines de l'abbaye de Saint-Victor, en 1032
Isnard de Glandevès (1340-1409), viguier de Marseille (1380), lieutenant du sénéchal (1405), fut seigneur de Cuers, de Pourrières et de Glandevès. Il fut le premier enfant
de Guillaume Féraud de Glandevès, seigneur de Cuers et de Thorame et de Louise de Villeneuve. Il fut selon le baron du Roure « un des seigneurs les plus puissants et les
plus considérés de Provence ». Il fut l'objet de la reine Marie de Blois qui le couvrit de dons. Le 31 août 1342, Béatrix de La Roche était dame de Cuers et du Revest ;
elle était mère du chevalier Raymond de Montealbano
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Pierre-feu et son église
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La commune se situe à 150 mètres d'altitude et sa superficie est de 5 836 hectares. L'ouest de la commune est une vaste plaine viticole, appartenant à la dépression
permienne qui s'étend de Toulon à Fréjus, en contournant le massif des Maures, qui occupe plus de 50 % de son territoire. Les sommets principaux sont : Le Castellas (445 mètres),
le Peyrol (350 mètres) et le Barry (149 mètres).
Le centre-ville est bâti à la fois sur le premier contrefort du Massif des Maures (colline de Sainte-Croix) et sur la vallée qui s'étend a ses pieds. L'agglomération a ensuite débordé
vers la colline de Saint-Michel.
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Je pars pour 2 semaines dans le Var , j'ai programmé mon blog pour quelques jours, j'essayerai de temps en temps de passer sur vos blogs
mais je serais chez une amie et chez mon fils aussi ce ne sera pas tous les jours , je ne vous oublierai pas , bonne santé à tous et à toutes .
Hélène
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