• Après avoir quitté la vallée de la Tarentaise ,je me dirige vers Annecy , arrivée au village de Faverge ,

    je prends la petite départementale D12 et commence à monter par les lacets qui vont me mener tout

    d'abord à Seraval , puis après avoir longer la rivière "Le Fier " j'arrive au col "le Marais " de chaque coté

    paysages magnifiques , je vais ensuite redescendre sur Thones!

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    Blog en pause

    C'est sur ces paysages que je vous quitte pour quelques jours , ma fille arrive demain pour me chercher,

    nous repartirons de la Savoie jeudi ,pour Dijon,  je vous retrouverai vendredi ou samedi pour continuer la balade

    dans Thones.

    Je vous souhaite à tous et à toutes une agréable semaine avec de gros bisous à chacun

    Balade du vendredi 25 juillet 2014

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  • Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Ancien évéché de Tarentaise, vieux pont St Pierre construit en 1785, enjambant l'Isère

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    A gauche petit porche qui va à l'école St Thérèse Où j'ai fait mes classes primaires

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    Moutiers ,sa Cathédrale St Pierre

    La cathédrale Saint-Pierre de Moûtiers est une ancienne cathédrale catholique romaine, située à Moûtiers, dans la vallée de la Tarentaise, en Savoie (France). Elle est classée sur la liste des monuments historiques depuis le 30 octobre 1862.

    C'était à l'origine le siège de l'archidiocèse de Moûtiers-Tarentaise, supprimé à la suite du concordat du 2 avril 1802 qui crée l'évêché de Chambéry-Genève. La cathédrale est devenue ensuite le siège du diocèse de Tarentaise de 1825 à 1966, jusqu'à ce qu'un décret du Saint-Siège unisse les trois évêchés de Chambéry, de Moûtiers et de Saint-Jean-de-Maurienne en un évêché de Chambéry, Maurienne et Tarentaise.

    Origine

    L'évêché de la Tarentaise a été créé au Ve siècle, mais il ne reste rien de la cathédrale initiale. Une lettre du pape saint Léon datant de 450 indique que l'évêché est rattaché à la métropole de Vienne2.

    Le premier texte mentionnant la cathédrale est celui de l'homélie prononcée par saint Avit, archevêque de Vienne, dans la cathédrale reconstruite par Sanctus entre 517 et 525, évêque de Darantasia (Moûtiers), au moment de sa dédicace (dicta in basilica sancti Petri quam Sanctus episcopus Tarantasiae condidit). Saint Avit indique que cette nouvelle cathédrale en remplace une autre devenue trop petite.

    Il est probable qu'il a été construit à Darantasia, comme à Genève, à Lyon et dans plusieurs villes épiscopales, un groupe épiscopal comprenant l'église de l'évêque, l'église paroissiale et le baptistère3. Des fouilles entreprises au XIXe siècle ont permis de retrouver un bâtiment circulaire au chevet de la cathédrale.

    Les Sarrazins ont fait plusieurs incursions dans les Alpes jusqu'à Moûtiers, détruisant probablement la cathédrale. Après l'enlèvement en juillet 972 de Maïeul, abbé de Cluny, au cours d'un de ses voyages entre Cluny et Rome, le comte de Provence, Guillaume Ier et plusieurs seigneurs de Provence se sont lancés dans une opération contre les Sarrasins retranchés à La Garde-Freinet qu'ils ont pris en 973.

    Rodolphe III fait des archevêques de Tarentaise des comtes de Tarentaise en 996. Quand le royaume de Bourgogne est revenu à Conrad II, il est intégré au Saint-Empire romain germanique. Les archevêques de Tarentaise sont devenus des princes d'Empire. Ce titre de comte va donner aux archevêques des moyens financiers importants leur permettant de reconstruire leur cathédrale. Les droits des archevêques-comtes seront confirmés en 1186 par Frédéric Barberousse.

    Construction de la cathédrale

    Au XIe siècle l'archevêque, peut-être Amizon ou un successeur immédiat, a entrepris de reconstruire la cathédrale qui avait été endommagée au cours des incursions sarrasines. En même temps que l'église ont été reconstruits l'évêché, au sud, le long de l'Isère, et le cloître, au nord, sur la place.

    De la cathédrale romane, il ne reste que le chœur et l'abside. Elle possédait quatre tours dont seules deux subsistent. Ainsi, le chœur jadis entouré de deux tours ne conserve que celle septentrionale faisant office de clocher. Le chœur avait été décoré de fresques qui ont été recouvertes par un enduit après 1650 par Mgr Milliet de Challes. Des éléments de ce décor ont été mis au jour en 1882 par l'architecte Borrel.

    Le même archevêque a fait supprimer la crypte construite au XIe siècle sous le chœur. Celle-ci servait de martyrium où étaient exposées les reliques. Elle créait une surélévation du chœur. L'archevêque avait justifié cette destruction par le risque qu'elle faisait courir à la stabilité de l'abside.

    Les dernières études de la cathédrale ont montré qu'elle a dû être construite en deux temps :

    • la partie orientale, vers 1020,
    • la partie occidentale, la nef, vers 1050.

    De la nef romane, il subsiste le mur gouttereau sud qui a été aménagé.

    La cathédrale a été restaurée par l'archevêque Pierre II, entre 1141 et 1175. Son biographe indique qu'il dota la cathédrale de voûtes de pierre, c'est-à-dire la nef, car le chœur était déjà voûté.

    Le 25 juillet 1454, le cardinal Jean d'Arces, archevêque-comte de Tarentaise, a fondé la chapelle des Innocents dans la cathédrale. C'est lui qui a entrepris de reconstruire une partie de la cathédrale dans le style gothique. Une plaque apposée à gauche du portail donne la date de 1461. Elle cite le nom du maître maçon et tailleur : François Cirgat.

    L'archevêque François Amédée de Millet entreprend de transformer la cathédrale pour la rendre conforme à la liturgie définie au concile de Trente :

    • destruction de la crypte pour descendre le niveau du chœur par rapport à l'avant-chœur,
    • réalisation de baies dans les croisillons du transept pour l'éclairer,
    • construction de la coupole avec lanternon à la croisée du transept par Louis Billot.

    Le premier prix-fait date du 31 octobre 1669 et le second du 1er avril 1671.

    En 1686 est construit le porche qui se trouve à l'entrée de la cour précédant la cathédrale. Il a été détruit au moment de la Révolution et reconstruit en 1864.

    Démolitions révolutionnaires

    Avec l'arrivée des troupes françaises en 1792, la cathédrale va être transformée en Temple de la Raison.

    En 1793, le représentant en mission Antoine Louis Albitte décide qu'il faut raser les clochers car ils dérogent au principe d'égalité. Malheureusement, ces travaux de démolition faits sans précaution vont entraîner l'affaissement de la charpente : les voûtes romanes et gothiques s'effondrent le 24 décembre 1794.

    Après la mort de l'archevêque en 1793, les prêtres se réfugient en Piémont. Il faut attendre le concordat de 1801 pour voir rétablie la situation de l'Église à Moûtiers, mais l'archevêché de Moûtiers est supprimé au profit de Chambéry dont le diocèse s'étend sur les deux départements de Savoie et de Haute-Savoie, le canton de Genève et le Pays de Gex

    Après la chute de l'Empire, en 1815, la Savoie revient sous la souveraineté du roi Sardaigne, duc de Savoie.

    Restauration de la cathédrale

    Chambéry devient un archevêché en 1817 et l'évêché de Tarentaise est rétabli en 1825 en même temps que celui de Maurienne. Le nouvel évêque, Mgr Antoine Martinet, vient s'installer dans une cathédrale ruinée. La nef, reconstruite dans un style classique, remonte au XIXe siècle.

    À partir de 1827, on commence à réfléchir à la restauration-reconstruction de la cathédrale. Les travaux sont confiés aux architectes Ernesto Melano (1792-1867) et Sogno.

    La décoration a été donnée au peintre fresquiste Casimir Vicario. C'est lui qui doit peindre les personnages de la coupole de la croisée du transept suivant les indications prévues dans le contrat signé le 13 février 1829 par l'évêque Antoine Rochaix et lui-même (il a réalisé plus tard les fresques de la cathédrale Saint-François-de-Sales de Chambéry).

    La cathédrale est bénite le 31 octobre 1829 et elle est consacrée le 3 juillet 1831.

    L'édifice est classé Monument historique le 30 octobre 1862.

    En 1869, une chapelle latérale est construite sur la bas-côté de la nef.

    En 1882, l'architecte Borrel reconstitue une crypte romane et fait disparaître la décoration du XVIIe siècle dans le chœur.

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  • dimanche 20 juillet " bon je me risque à partir malgré le brouillard "!!!!!

    dimanche 20 juillet " bon je me risque à partir malgré le brouillard "!!!!!

    Mais la récompense le ciel a été gentil avec moi après

    dimanche 20 juillet " bon je me risque à partir malgré le brouillard "!!!!!

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    Bon je rentre ça menace!!

    dimanche 20 juillet " bon je me risque à partir malgré le brouillard "!!!!!

    dimanche 20 juillet " bon je me risque à partir malgré le brouillard "!!!!!

    Bien m'en a pris 18 h un orage de grêle nous tombait sur la tête

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  • Lieu de pèlerinage fort ancien, curieux oratoire de style baroque, couvert de fresques Renaissance et de dorures, dans la plus pure tradition de la Savoie religieuse..." écrit Roger Frison Roche dans Mont-Blanc aux sept vallées.

    Elle fût rebâtie en 1699 par Jean de la Vougniaz, un maitre-maçon de la Valsésia qui venait d'achever la reconstruction de l'eglise de St Gervais.
    Notre-Dame de la Gorge, depuis le XIIIème siècle, a été l'église paroissiale de tous les habitants du vallon et cela jusqu'au début du XIXème siècle. Mais c'est aussi un sanctuaire au fort rayonnement spirituel, imprégné du culte marial : depuis des temps immémoriaux, chaque année, le pèlerinage du 15 Août à la Gorge draîne une foule de fidèles.
    Enfin, Notre-Dame de la Gorge est un lieu de prière indissociable du passage du col du Bonhomme. Quel voyageur n'a pas franchi la porte de cette église soit pour une action de grâce après un voyage sans encombres, soit pour une prière avant le départ redouté ?
    Architecture :
    Orientée à l'ouest, elle se compose d'une nef de trois travée dont la première comporte une tribune. Le choeur profond possède une seule travée. Les voûtes d'arêtes reposent sur des pilastres fortement saillants engagés dans les murs goutterots. Des baies en plein cintre éclairent l'ensemble de la chapelle. La décoration intérieure fait largement appel au stuc : niches décorées, cartouches avec encadrements, statues d'atlantes supportant la tribune, etc... La restauration de l'édifice réalisé en 1950 et 1951 par Edouard Borga s'est efforcée de conserver le caractère original de la décoration initiale.

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  • Pour vous souhaiter un agréable week-end "qui peut me dire le nom de ces fleurs ?"

    Pour vous souhaiter un agréable week-end "qui peut me dire le nom de ces fleurs ?"

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  • mercredi soir à 9 h 45 " ciel embrasé

    mercredi soir à 9 h 45 " ciel embrasé

    Soleils couchants

    Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées;

    Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ;

    Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ;

    Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit !

    Tous ces jours passeront ;ils passeront en foule

    Sur la face des mers, sur la face des monts,

    Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule

    Comme un hymne confus des morts que nous aimons.

    Et la face des eaux, et le front des montagnes,

    Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts

    S'iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes

    Prendra sans cesse aux monts le flot qu'il donne aux mers.

    Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête,

    Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux,

    Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête,

    Sans que rien manque au monde immense et radieux !

    Victor Hugo,.

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