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"Le cœur d’une mère est un abîme au fond duquel se trouve toujours un pardon" [Honoré de Balzac]
"Une maman, c'est celle qui gronde mais qui pardonne tout" [Jean Gastaldi]
"Aucune mère n'est dupe quand on joue faux" [Pam Brown]
"Les mamans, ça pardonne toujours ; c'est venu au monde pour ça" [Alexandre Dumas]
"Arrive-t-il quelque bonheur ? Vite, à sa mère on le raconte ; C'est dans son sein consolateur Qu'on raconte ses pleurs ou sa honte" [Alfred de Musset]
"Le cœur des mères se glissent derrière les lois des hommes" [Jovette-Alice Bernier]
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Il est pour la pensée une heure... une heure sainte,
Alors que, s'enfuyant de la céleste enceinte,
De l'absence du jour pour consoler les cieux,
Le crépuscule aux monts prolonge ses adieux.
On voit à l'horizon sa lueur incertaine,
Comme les bords flottants d'une robe qui traîne,
Balayer lentement le firmament obscur,
Où les astres ternis revivent dans l'azur.
Alors ces globes d'or, ces îles de lumière,
Que cherche par instinct la rêveuse paupière
Jaillissent par milliers de l'ombre qui s'enfuit
Comme une poudre d'or sur les pas de la nuit ;
Et le souffle du soir qui vole sur sa trace,
Les sème en tourbillons dans le brillant espace.
L'oeil ébloui les cherche et les perd à la fois ;
Les uns semblent planer sur les cimes des bois,
Tel qu'un céleste oiseau dont les rapides ailes
Font jaillir en s'ouvrant des gerbes d'étincelles.
D'autres en flots brillants s'étendent dans les airs,
Comme un rocher blanchi de l'écume des mers ;
Ceux-là, comme un coursier volant dans la carrière,
Déroulent à longs plis leur flottante crinière;
Ceux-ci, sur l'horizon se penchant à demi,
Semblent des yeux ouverts sur le monde endormi,
Tandis qu'aux bords du ciel de légères étoiles
Voguent dans cet azur comme de blanches voiles
Qui, revenant au port, d'un rivage lointain,
Brillent sur l'Océan aux rayons du matin."Lamartine"
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Lançant dans l'air son doux rappel,
Le passereau dit aux campagnes,
A la forêt comme aux montagnes :
Il est parti l'hiver cruel !
L'arbre répond, l'arbre murmure :
Je vois s'ouvrir boutons et fleurs !
Quelle fête dans les couleurs,
Ô printemps, roi de la Nature !
Joyeux refrain, de nids en nids,
Le chant de triomphe s'envole,
Se mèle au bruit de l'onde molle,
Ebranle les cieux infinis.
Dans les taillis, de tige en tige,
le cri joyeux glisse et descend ;
L'azur emplit le ciel soyeux,
La plaine est verte et tout voltige."Jules Massenet"
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Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peineVienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeureLes mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasseVienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeureL'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violenteVienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeurePassent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la SeineVienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure"Guillaume Apollinaire"
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La valse brune
Ils ne sont pas des gens à valse lente
Les bons rôdeurs qui glissent dans la nuit
Ils lui préfèrent la valse entraînante
Souple, rapide, où l'on tourne sans bruit
Silencieux, ils enlacent leurs belles
Mêlant la cotte avec le cotillon
Légers, légers, ils partent avec elles
Dans un gai tourbillon.Refrain
C'est la valse brune
Des chevaliers de la lune
Que la lumière importune
Et qui recherchent un coin noir
C'est la valse brune
Des chevaliers de la lune
Chacun avec sa chacune
La danse le soir.
Ils ne sont pas tendres pour leur épouse
Et, quand il faut, savent les corriger
Un seul soupçon de leur âme jalouse
Et les rôdeurs sont prêts à se venger
Tandis qu'ils font, à Berthe, à Léonore
Un madrigal en vers de leur façon
Un brave agent, de son talon sonore
Souligne la chanson."paroles de Georges Villard"
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« Les gens sont comme des vitraux. Ils brillent tant qu’il fait soleil, mais, quand vient l’obscurité, leur beauté n’apparaît que s’ils sont illuminés de l’intérieur. »
Elisabeth Kübler-ross
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