• Statue de l'ingénieur Lely auteur du projet de fermeture de Zuiden

    Pont traversant l'autoroute

    Mer du nord

    Hommage aux ouvriers

    Prisent sur le net

    construction de la Digue

    *******************

    L'Afsluitdijk (en français : « digue de fermeture ») est une digue de grande taille (32 km) située aux Pays-Bas,

    construite entre 1927 et 1933, reliant Den Oever sur Wieringen (province de la Hollande-Septentrionale) au village

    de Zurich sur la commune de Súdwest-Fryslân (province de Frise). Il est la pièce maîtresse des travaux du Zuiderzee

    effectués sous l'impulsion de l'ingénieur Cornelis Lely, qui, à l'époque, était ministre des transports et des

    aménagements hydrauliques. Strictement parlant ce n'est pas une digue, mais un barrage puisque le niveau des eaux

    n'est pas le même de chaque côté.

    Description

    L'ouvrage a une longueur de 32 kilomètres, pour une largeur de 90 mètres (180 mètres sous l'eau) et une hauteur

    de 7,25 mètres au-dessus du niveau de la mer1. Cette digue sert à fermer le Zuiderzee, un ancien golfe de la mer

    du Nord, afin de le transformer en une étendue d'eau douce désormais dénommée IJsselmeer. Elle accueille de plus

    une autoroute (A7-E22) qui permet de relier directement la Hollande-Septentrionale à la province de Frise. Celle-ci ne se

    trouve pas au sommet de la digue, si bien que la mer de Wadden n'est pas visible de la route. Un poste d'observation

    donnant une vue globale existe au milieu de l'ouvrage.

    Aux deux extrémités de la digue, des systèmes d'écluses permettent le passage de bateaux. Elles sont accompagnées

    de vannes qui aident à décharger périodiquement vers la mer des Wadden le surplus d'eau du lac, tant apporté par

    les rivières (en particulier l'IJssel) que celle pompée dans les polders :le complexe de Den Oever à l'ouest, inclut

    l'écluse Stevinsluizen et trois séries de cinq vannes de décharge ;l'autre complexe situé à Kornwerderzand à l'est,

    comprend l'écluse Lorentzsluizen et deux séries de cinq vannes, pour un total de 25 vannes de décharge.

    L'ouvrage n'est pas en ligne droite. Un léger coude peut être remarqué à l'est. Ceci est fait pour faciliter l'écoulement

    des eaux à travers les écluses de Lorentz, dans l'île de Kornwerderzand.

    De précédentes expériences avaient montré que le till (argile glaciaire), mieux que simplement du sable ou de l'argile,

    était le meilleur matériau pour une structure de terre telle que l'Afsluitdijk, avec l'avantage supplémentaire que cette

    matière était abondante dans les environs. Elle pouvait être extraite aisément en draguant simplement les fonds

    marins du Zuiderzee. Le travail fut entamé en quatre endroits : de chaque côté de la côte, et à partir de deux îles

    artificielles (Kornwerderzand et Breezand) dans l'alignement de la future digue.

    À partir de ces points de construction, la digue fut érigée progressivement par les bateaux apportant le till dans la

    mer en deux lignes parallèles. Du sable fut dès lors apporté entre ces deux digues, et fut recouvert d'une autre couche

    de till quand l'ouvrage commença à émerger. Il fut alors renforcé par des blocs de basalte et des pieux de saule

    enfoncés à la base. La digue put dès lors être terminée en ajoutant d'autres couches de sable et d'argile, pour être

    finalement recouverte de végétation.

    Au début la construction progressa plus vite que prévu. Mais à trois endroits des fosses provoquant des courants

    de marées donnèrent des inquiétudes et furent même considérés comme une difficulté majeure. Puis rapidement

    il apparut que celle-ci put être aisément maîtrisée. Mais au moment de clôturer complètement l'ouvrage des courants

    se formèrent et plusieurs fois de suite il fallut attendre la marée suivante. "Le Zuiderzee ne voulait pas mourir"

    dira-t-on. Le 28 mai 1932, deux ans plus tôt que prévu, le Zuiderzee cessa d'exister quand au lieu dit du Vlieter la

    dernière ouverture fut obstruée par un bloc de till. L'IJsselmeer était né, il contenait encore de l'eau de la mer mais

    elle sera rapidement remplacée par de l'eau douce.

    La grande Digue du nord ( très peu de photos il faisait un temps affreux)


     
     

     

     

     

     

     

     


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  • Visite  du réputé parc de Keukenhof une pure merveille !!

    L'équipe ! (cette photo est un montage, c'est moi qui prend la photo, donc je ni suis pas à l'origine!!)

    Sur les 32 hectares du parc, les sociétés florales de la région exposent au printemps leurs bulbes en fleur, et

    notamment les tulipes. Connu internationalement, ce jardin d'exposition attira plus d'un million de touristes venus

    des Pays-Bas et d'ailleurs en 2014, il est, en superficie, le plus grand parc floral au monde.

    C'est au cours du XVe siècle que le parc fut créé, faisant partie du domaine du château de Teylingen. Il servit de

    jardin potager à la comtesse Jacoba de Bavière : elle trouvait là les ingrédients pour sa cuisine, ce qui explique

    l'origine de l'appellation (Keukenhof, littéralement le jardin de la cuisine). En 1840, le parc fut redessiné par les

    architectes Zochter et fils, qui avaient également conçu le Vondelpark d'Amsterdam. En 1949, la propriété fut

    transformée pour accueillir les expositions de fleurs à bulbes, à l'initiative du maire de Lisse de l'époque, W. J. H.

    Lambooy.

    Les bulbes sont fournis gratuitement par les exposants. Les architectes du parc imaginent les massifs environ un an

    à l'avance et les jardiniers plantent les bulbes (à la main) entre octobre et décembre. Près de chaque massif, une

    pancarte donne les coordonnées de l'exposant auprès duquel les fleurs présentées peuvent être achetées. À la fin

    de la saison, les bulbes sont déterrés pour pouvoir être réutilisés l'année suivante.

    Le parc d'exposition est entouré de réels champs de tulipes, jacinthes, narcisses, et jonquilles. Plusieurs pavillons

    présentent des expositions de fleurs (tulipes, orchidées dans le pavillon Beatrix). Un moulin à vent datant de 1892

    (provenant de Groningue) fut installé dans le parc en 1957 pour une plus grande authenticité. Il permet d'avoir un

    point de vue en hauteur sur les champs aux alentours. Les anciens jardins à la française du château ont été conservés,

    et y furent ajoutés un labyrinthe végétal et des fontaines sculptées.

    Visite  du réputé parc de Keukenhof une pure merveille !!


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  •  

    Amsterdam, c'est d'abord une histoire d'eau. Elle est partout. Elle semble figée, et pourtant elle guide les pas.

    À Amsterdam, on ne change pas facilement de trottoir : il faut contourner l’eau pour aller chercher un pont plus

    loin. Et comme 1 281 ponts courbent l’échine pour lui faire allégeance, on se laisse séduire par la grâce qui se

    dégage du tableau.
    Autour des canaux d’Amsterdam, des centaines d’étonnantes demeures se penchent doucement en murmurant :

    « Canal, suis-je toujours la plus belle du quartier ? » Ici, pas de volets ni de barreaux aux fenêtres, on ne cache

    rien. Même certaines dames n’hésitent pas à se montrer en petite tenue, derrière leurs vitrines du quartier Rouge.
    Toute la magie de cette capitale de taille modeste est de s’offrir sans détour ni faux-semblant. Souriante et humble

    à la fois, toujours aimable, Amsterdam on l’aime, car on ne peut faire autrement. On voudrait lui trouver au moins

    un défaut, mais voici qu’une grappe joyeuse de jeunes filles passe à vélo, le dos bien droit, le guidon haut, suivie

    par un cortège de rires ; voici qu’un vieux café sans âge nous appelle de ses dizaines de petites bougies qui scintillent

    en vitrine. Avant même d’évoquer les musées, la rue a tant à offrir.

    Après 6 jours de navigation :Amsterdam où pendant 2 jours nous vistions cette ville et les alentours


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  • Cologne est la ville avec une histoire longue et orageuse. Elle a été fondée au temps des Romains, ses premières

    mentions se rapportent à 50 an avant J.C. Au Moyen âge la population de la ville qui est la plus vieille de l’Allemagne

    faisait 40 000 personnes, la présence de l’université, le commerce libre et les citadins cultivés – toute cela permettait

    de ranger Cologne aux villes les plus riches et influentes de l’Europe de cette époque. Pendant la Deuxième Guerre

    mondiale le centre de Cologne a été pilonné à 90%, et 72 % de tout le territoire de la ville sont tombés victime des aéroincursions destructives. Après la guerre les lieux historiques ont été restaurées avec lenteur. Leur reconstruction

    a été le succès certain. On a réussit à restaurer la plupart des bâtiments historiques et aujourd’hui ils sont dans une

    ancienne magnificence.

    La Vieille ville (Altstadt).
    est le quartier le plus vieux de Cologne, ici on dispose les curiosités les plus célèbres de la ville : la Cathédrale de

    Cologne, des musées et la Maison de l’eau de Cologne 4711. La grande partie du quartier comprend des ruelles

    étroites, sur ces ruelles et les places on peut trouver la multitude de restaurants traditionnels, des cafés et des

    brasseries. En somme à Cologne il y a 24 brasseries, ici on font la sorte locale de la bière blonde de la fermentation

    "Kölsch".

    La cathédrale de Cologne.
    C’est la plus grande cathédrale gothique de l’Allemagne qui se trouve sous la protection de l’UNESCO et qui est le

    symbole de la ville. Sa construction a commencé en 1248, mais les travaux ont été terminés seulement en 1880.

    La cathédrale a été construite à cette place, où à l’Empire romain tardif passaient les rencontres des chrétiens. La

    Cathédrale de Cologne a survécu par miracle pendant la Deuxième Guerre mondiale. Sa hauteur est 144 m, la largeur

    - 86 m. Les tours ont 157 m de la hauteur. La trésorerie de la Cathédrale de Cologne est le plus considérable en

    Europe et elle surpasse d’après l’importance même la trésorerie du Vatican. Particulièrement la croix célèbre de

    Géron, la crucifixion colorée en bois faite sur la commande de l’archevêque de Cologne Géron approximativement

    en 975. La mort sur la croix est faite très réalistement qu’a été la révélation pour ce temps. Mais la valeur principale

    de la Cathédrale de Cologne est, sûrement, La poitine de trois rois, où se trouvent les débris de trois rois (trois mages)

    : Melchior, Balthazar et Gaspard.C’est le plus grand sarcophage d’or en Europe Occidentale. Et, certes, il faut se lever

    une fois quand même à la tour gauche de la cathédrale, le panaroma qui s’ouvre par dessus très pittoresque.

    la Maison de l’eau de Cologne 4711.
    est le magasin le plus connu de Cologne, ici on peut acheter de l’eau de Cologne «4711». Il est disposé dans la

    rue de Glokenchtrasse. «Eau de cologne» on traduit exactement comme «l’eau de Cologne». L’eau odorante est

    apparue au marché en 1709 grâce à Jean Maria Farina, qui a ouvert pour tout le monde Cologne comme la ville

    des parfums. Son entreprise de parfumerie est la plus vieille dans le monde. Plus tard à son exemple ont suivi

    d’autres magasins et des fabriques qui ont commencé la production et la vente «eau de cologne». Mais le magasin

    le plus connu est, sûrement, la Maison de l’eau de Cologne 4711. Le nom à l’odeur célèbre a donné la maison 4711

    et c’est devenu la marque connue de l’eau de Cologne.


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  • QUAND VIENT LA NUIT

     

    Quand vient la nuit,
    c'est l'heure douce
    où sur la mousse
    les fleurs se font un lit.

    Quand vient la nuit,
    c'est l'heure brune
    où Dame Lune
    se réveille sans bruit.

    L'étoile amie
    séme sans treve
    les plus beaux reves
    sur le monde endormi.

    "MAJOR HENRIETTE"

    Quand tombe la nuit


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  • Lorelei (Loreley) est le nom d’un rocher qui culmine à 132 mètres au-dessus du Rhin à

    proximité de Sankt Goarshausen (Saint Goarshausen en français) en Allemagne (Rhénanie-Palatinat).

    C’est l’endroit le plus étroit du fleuve entre la Suisse et la mer du Nord. L’avancée du rocher réduit d’un quart la

    largeur du fleuve. Le courant très violent et les nombreux rochers immergés ont causé de nombreux accidents de

    navigation.

    Lorelei est aussi le nom d’une nixe (nymphe de la mythologie germanique) qui attire les navigateurs du Rhin jusqu'à

    leur perdition par ses chants, comme les sirènes de la mythologie grecque ancienne.

    Cette légende de la Lorelei sur son rocher a inspiré de nombreux artistes, dont le poète allemand Heinrich Heine qui

    écrivit en 1824 l’histoire Die Lore-Ley plus tard mise en musique et popularisée par le compositeur Friedrich Silcher.

    Le rocher de la Lorelei est maintenant un site touristique très fréquenté, tant pour la beauté des lieux que pour la

    légende qui l’entoure.

    La légende de Lorelei sur le Rhin

     


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https://youtube.com/clip/UgkxEvlgwfKtAMDUDQs9b-OL1TL1cPQnJwDb