• Hallowen

    Les origines de la fête d’Halloween

    Certains disent qu’Halloween est une fête ancienne celtique. Elle tient ses origines de la fête religieuse (calendaire) le «Samain » qui célèbre la période transitoire entre la saison sombre qui commence le 1er novembre et la saison clair. Selon les récits de la mythologie Irlandaise, la fête dure une semaine durant laquelle on donnait lieux à des cérémonies, des buveries et des rituels druidiques.

    Halloween en Irlande

    Au 8ème siècle, l’évangélisation de l’Irlande prend cours. C’est là ou  les catholiques ont accordé le Halloween comme fête religieuse. En fait,le pape Grégoire 4 instaure la Toussaint, le 1er novembre serait la journée ou les morts seront célébré. D’où vient le nom connu aujourd’hui de la fête Halloween (All Hallows Eve) c’est-à-dire la nuit de tous les saints

    Halloween et les citrouilles

    Halloween aujourd’hui est généralement symbolisée par une  citrouille. Cette symbolisation vient de la légende Irlandaise de Jack-O-Lanterne, connu pour son avarice que même le diable lui a joué des tours et il erre depuis en portant une lanterne pour s’éclairer.

    Hallowen

    Hallowen


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  • Elle est si douce, la pensée,
    Qu'il faut, pour en sentir l'attrait,
    D'une vision commencée
    S'éveiller tout à coup distrait.

    Le cœur dépouillé la réclame ;
    Il ne la fait point revenir,
    Et cependant elle est dans l'âme,
    Et l'on mourrait pour la finir.

    À quoi pensais-je tout à l'heure ?
    À quel beau songe évanoui
    Dois-je les larmes que je pleure ?
    Il m'a laissé tout ébloui.

    Et ce bonheur d'une seconde,
    Nul effort ne me l'a rendu ;
    Je n'ai goûté de joie au monde
    Qu'en rêve, et mon rêve est perdu.

    "René-François Sully Prudhomme."

    Les pensées


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  •  Promenade d'Automne

    Automne, fidèle, arrive chez moi
    Il me fait de larges signes du bois
    Par la fenêtre et m’invite à sortir
    Le rejoindre et la forêt parcourir
    Faisant voler feuilles et champignons
    Mes pas suivent ce charmant compagnon

    Ses habits neufs éblouissent les yeux
    De brillants dégradés aux tons de feux
    Le rouge y dispute à l’ocre et l’orange
    L’honneur de vêtir la mode qui change
    Tenues estivales de tissus verts
    Font place aux chaudes collections d’hiver

    Il porte un parfum musqué raffiné
    Dont les volutes me poivrent le nez
    Fragrance entêtante de ces souchettes
    Soupçon de marron, pincée de noisette
    Senteurs mouillées, restes de fenaison
    Meutes souillées, odeurs de venaison

    Les franges blanchâtres de son écharpe
    Soudain devant son visage s’échappent
    Cachant le teint sanguin haut en couleur
    De ce bel ami si cher à mon cœur
    Derrière l’épais rideau de ce voile
    Comme il est froid et gris ! Comme il est pâle !

    Sa présence est un tel enchantement
    J’en oubliais sens et raisonnement
    Sans doute avons-nous longtemps cheminé
    Un bon feu attend dans la cheminée
    Pour des semaines Automne restera
    Et je reviendrai, demain, à son bras

    "Christine Derouineau"

    Promenade d'Automne


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  • Pâle reflet

    Peur de se voir dans le miroir
    Une porte ouverte sur mon âme
    Mon corps est tout en désespoir
    J'ai perdu tout, même ma flamme.

    Pâle reflet même dans tes yeux
    Un monde vide par ton absence
    Je ne vois que moi, malheureux
    Depuis que tu es en partance.

    Viens mettre dans mon univers
    Un peu de baume dans mon cœur
    Fais chanter avec tes beaux vers
    Mon esprit vide de bonheurs.

    Pour que je devienne visible
    A tous ceux qui ici m'entourent
    Dans ce miroir, fais de moi cible
    De Cupidon, de ton amour.

    "inconnu"

    Pâle reflet dans le miroir


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  • L'ENFANT

    A quoi jouait-il cet enfant ?
    Personne n'en sut jamais rien
    On le laissait seul dans un coin
    Avec un peu de sable blanc

    On remarquait bien, certains jours,
    Qu'il arquait les bras tels des ailes
    Et qu'il regardait loin, très loin,
    Comme du sommet d'une tour.

    Mais où s'en allait-il ainsi
    Alors qu'on le croyait assis ?
    Lui-même le sut-il jamais ?

    Dès qu'il refermait les paupières,
    Il regagnait le grand palais
    D'où il voyait toute la mer.

    "MER DU NORD"

    L'ENFANT

     


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  • Nous les saisons

    « Je suis le printemps »
    Timide sans aucun doute
    Je fais des efforts bien que cela me coute
    Je reprends vie pour vous enlever la mélancolie
    Et vous donner des petits grain de folies
    Tout sourire vous chantez dans l’infinie
    Avec les oiseaux sous le ciel béni
    *******
    « Et moi l’été »
    J’arrive vous m’espériez
    Je vous emmene toute ma gaîté
    J’ai emmagasiné le soleil et la chaleur
    Accompagné de plein de couleur
    Pour vous entourer de douceur
    Et mes nuits étoilées vous feront danser
    ******
    « L’automne! j’arrive! »
     Avec  mes larmes et mes regrets
    Je vous apporte un temps monotone
    Mes arbres s’agitent, frissonnent
    Pourtant qu’elles sont belles mes forêts
    Quand leurs teintes chatoyantes apparaissent
    J’en suis fière et je sais m’imposer
    *******
    «Moi l’hiver le froid»
     Je montre mon bout de nez
    Avec mes premières gelées
    Puis je m’enveloppe dans mon grand manteau enneigé
    Vous les enfants vous m’avez espéré
    De vos petites main avec habilité
    Sortira un bonhomme de neige et son béret
    ******
    Voila une année est passée
    Et délicatement nous a emmené
    Vers ce que l’univers à sagement inventé
    *******
    Année 2012
    Hélène.G

    les quatre saisons

     


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