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Mon petit fils de passage à Lyon a acheté et m'a offert ce livre
"Les nouveaux secrets de Lyon "
j'en ai retenu une que je vais vous narrer aujourd'hui
"Le parc de la Toison d'Or et l'introuvable trésor"
au préalable quelques photos prise sur le net
Création du parc de la Tête-d'Or vue générale sur le site, avant le commencement des travaux
Plan Exposition universelle Lyon 1894 Parc Tête d'Or
Tout d'abord une description du parc et ses différentes périodes de travaux
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Le parc de la Tête d'Or est un parc urbain de Lyon, l'un des plus grands de France. Œuvre des frères Denis et Eugène Bühler,et à l’instigation du sénateur-maire Claude-Marius Vaïsse qui voulait « offrir un jardin aux Lyonnais qui n’en ont pas. ». le parc est ouvert dès 1857 alors que les travaux ne sont pas achevés. Il est exactement contemporain du Central Park de New York, créé la même année. Le parc est enrichi de nombreux bâtiments comme les grandes serres en 1865, le vélodrome, le chalet des gardes et le chalet en 1894, la clôture en 1896, les serres de collection en 1899, le monument aux morts de l'île aux Cygnes entre 1914 et 1930 ou encore la nouvelle roseraie entre 1961 et 1964. Aujourd'hui géré par la ville de Lyon et véritable poumon de l'agglomération, le parc offre sur 117 hectares une vaste étendue naturelle au cœur de la cité. On y accède par huit entrées, la dernière ayant été ouverte en 2009, au niveau de l'esplanade de la Cité Internationale. Peut-être beaucoup connaisse ce célèbre parc, mais peut doivent connaitre :
Une légende plusieurs fois centenaire
Mais peu connaissent la véritable histoire que renferment les enceintes de ce lieu. , Or, le nom du lieu ne trouve pas son origine lors de la construction du parc, il est beaucoup plus ancien. Sous François Ier, dans les années 1530, le terrain alors marécageux est déjà connu sous ce nom. Dès cette période, une légende circule à son propos. Des croisés auraient caché un trésor dans le sol flottant du terrain, dont une tête de Christ en or. Le mythe a ainsi perduré jusqu’au XIXe siècle, période à laquelle les recherches de la fameuse sculpture précieuse se sont accentuées.
L’une des versions de l’histoire mentionne une voyante qui aurait été engagée pour retrouver le trésor tant recherché. Mais cette interprétation est peu racontée car elle se termine beaucoup trop rapidement : la voyante aurait été incapable de soulager l’attente des Lyonnais, et la Tête d’Or serait restée introuvable.
Une autre variante de la légende est bien plus attrayante et plus amusante à conter. Elle tire son origine des canuts, les tisseurs de soie qui au XIXe siècle ont connu une longue période de crise. Lors de la construction du parc en 1856, les soyeux au chômage auraient été engagés pour aider à creuser le terrain destiné à l’accueil du futur lac. La pioche de l’un d’eux aurait butté sur un bloc dur. La Tête d’Or du Christ, après plusieurs siècles, est retrouvée.
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Il y a encore beaucoup de jolis petits villages à visiter , mais je finirai ces articles pour la moment
Par le cheval emblématique de cette belle région
"Le Pottok "
Groupe de pottoks de montagne, le type originel.
pottok-randonnee
Pottok_monté au salon de l'agriculeture à Paris en 2010
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Chistera (grand modèle)
Chistera (petit modèle)
Paleta ancienne
Paleta gomme
Paleta d'argentina
Différentes pelotes
match rebot Hasparren-Anglet
Trinquet à Ondres
Pelote en 1900
Partie de pelote sous les remparts de Fontarabie
Mon arrière Grand-Père Etienne Berterèch , il battit avec son équipe ,les Espagnoles à Elissondo en 1885
et en 1886 à Irun , il était né en 1853 et est décédé en 1930 à Louhossoa
Sa photo ton gant de cuir, sa pelote et sa chistera se trouve au musés de Bayonne
Aussi loin que remonte la pratique de jeux de balles par l'homme, on trouve des similitudes avec la pratique de la pelote basque. Regroupant plusieurs disciplines, la pelote fait figure d'emblème du Pays Basque, et est pratiquée par près de 19.000 licenciés en France à l'heure actuelle.
Une histoire datant de plusieurs siècles
On peut trouver des traces de la pratique de jeux de balles chez les Mayas, Aztèques, ou encore les Grecques, mais c'est au 16ème siècle que l'origine réelle de ce sport va naître, avec le jeu de Paume. Sport national français à l'époque, le jeu de Paume était pratiqué par la noblesse, et disparu presque totalement avec la révolution, mais subsista dans le sud-ouest de la France. Les modes de jeux vont évoluer au fil des ans pour à la fois se diversifier et se spécialiser, et devenir le sport que nous connaissons aujourd'hui. Au 18ème siècle, la commercialisation du caoutchouc va permettre un nouvel essor à ce sport. A la base pratiquée dans des salles de jeux spécifiques, la pelote basque va se pratiquer presque exclusivement en extérieur, et chaque village du pays basque possède son fronton, aire de jeu dédiée à la pratique de la pelote. Plusieurs variantes de la pelote basque existent, dont les plus connues sont le Chistera, la Punta Cesta, ou encore la Main Nue. La Fédération Française de Pelote Basque va naître en 1921, et le sport va connaître sa plus grande reconnaissance en étant présente aux jeux olympiques de Paris en 1924.Aujourd'hui, des championnats du monde sont organisés tous les 4ans, Pau étant la dernière ville à avoir accueillie cette compétition.****************
Pour compléter voici une petite vidéo
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Gare de départ St Ignace (169 m)
Gare d'arrivée au sommet de la Rhune ( 905 m )
Restaurant-Udako-Etxea au sommet de la Rhune
Table d'orientation
Un Pottok
Borne frontière
Le chemin de fer de la Rhune appelé aussi train de la Rhune ou petit train de la Rhune est une ligne ferroviaire électrifiée à voie métrique et à crémaillère située en Pays basque .Il est l'un des rares chemins de fer à crémaillère de France encore en service. Sur une ligne à voie métrique, inaugurée en 1924, roulent pendant la saison touristique des rames d'époque à traction électrique. La ligne relie le col de Saint-Ignace, à 10 km environ à l'est de Saint-Jean-de-Luz au sommet de la Rhune à 905 m d'altitude, sur la frontière franco-espagnole.
Historique
En 1908, nait l'idée de construire un chemin de fer pour monter au sommet de la Rhune ; le projet se concrétise par le début des travaux en 1912 et la création de la Société anonyme des Chemins de Fer basques en 1913, qui prend le nom de Voies ferrées départementales du Midi (VFDM) en 1914. Les travaux sont suspendus pendant la guerre de 1914-1918 ; ils reprennent en 1919 et se terminent en 1924 avec deux inaugurations : le 25 avril pour le premier tronçon jusqu'aux Trois Fontaines et le 30 juin pour la liaison avec le sommet. Durant les années suivantes, hormis la période de la guerre 1939-1945, le site attire de plus en plus de touristes, ce qui se traduit par des investissements concernant par exemple l'aménagement d'un parking en 1958, la construction d'une salle d'attente et d'un couloir pour accéder au sommet, situé à quelques mètres en Espagne, en 1967. Appelée à se prononcer par référendum en 1978, la population de Sare rejeta le projet de création d'une route menant au sommet de la Rhune, ce qui permit la survie du train, et la mise en service d'une quatrième rame en 1996.
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Saint-Jean-Pied-de-Port (en basque Donibane Garazi)
Saint-Jean-Pied-de-Port doit son nom à sa situation au pied du port de Roncevaux (alt. 1 057 m), en territoire espagnol. La ville est située au confluent de la Nive et du Laurhibar.
Ancienne capitale politique et administrative de la Basse-Navarre d' « Ultrapuertos » (c'est-à-dire d' « Outre-monts »), c'est aujourd'hui un centre d'échanges et d'activités culturelles et sportives basques.
En 2016, la commune a été admise à rejoindre l’association Les Plus Beaux Villages de France.
Haut lieu de pèlerinage vers Compostelle, cette petite cité escarpée respire la joie de vivre basque. À moins d'une heure de Biarritz, on y trouve, outre une table splendide, toute la générosité d'un terroir béni des dieux.
la porte Saint Jacques de Saint Jean Pied de Port, classée au patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO en 1998. Au titre des chemins de Saint Jacques de Compostelle, dont elle tire son nom.
La création de cette porte ( ainsi que du reste des fortifications de la ville ) remonte au XIII éme siècle, afin de protéger la ville de la menace Espagnole de l'époque. Ce qui n'empêcha pas la ville de tomber un peu plus tard, avant d'être reprise. Cette porte est situé le long du chemin de ronde de Saint Jean Pied de Port, à l'Est de la ville.
Un brin d'histoire
La première trace écrite mentionnant la ville date du XIIe siècle. Mais peut-être la légende qui en fixe la fondation au VIIIe siècle par le roi de Pampelune contient un fond de vérité. Car l'endroit est stratégique, qui contrôle un des accès les plus faciles pour traverser les Pyrénées. Une des routes de l'étain passait ici dès l'antiquité (ce métal était alors très précieux car il permettait de créer le bronze). Trois rivières se rejoignent également ici (la Nive d'Arnéguy, le Laurhibar et la Nive).
Au XIIIe siècle, cette province était sous souveraineté espagnole, plus précisemment du royaume de Navarre. C'est donc Sanche-le-Fort, souverain avisé (qui tenait de son père, appelé justement Sanche-le-Sage), qui entreprit les premiers travaux de fortification de Saint-Jean-Pied-de-Port.
A ce moment, le nombre de pèlerins qui cherchent à atteindre Saint-Jacques-de-Compostelle ne cesse de s'accroître. Et ces valeureux marcheurs s'arrêtent volontier à Saint-Jean-Pied-de-Port pour reprendre leur souffle et se préparer au franchissement des Pyrénées (ce qui n'était pas une mince affaire à cette époque). La ville voit alors fleurir échoppes et marchés et devient un centre économique assez actif.
Au XVIe siècle, la ville devient française, mais les conflits incessants entre les royaumes du Béarn, de France et de Castille entraînent de nombreux dégâts. Au XVIIIe siècle, les remparts et la forteresse sont restaurés et renforcés, sous l'autorité de l'inévitable Vauban.
Après un déclin jusqu'aux années 1950, Saint-Jean-Pied-de-Port est redevenu une cité vivante qui accueille de nombreux visiteurs. Ils apprécient son ambiance médiévale, ses superbes maisons de grés rose, la tour de l'église de Notre-Dame-du-Bout-du-Pont qui se reflète dans les eaux chantantes de la Nive...
L'église dédiée à Notre-Dame-de-l'Assomption se dresse le long de la Nive de Béhérobie.
Il s'agit d'un édifice religieux très ancien, dont les origines remonteraient au XIIIe siècle.
Elle fait partie des éléments incontournables de la jolie ville typique de Saint Jean Pied de Port. Cette église était également appelée notre Dame du Bout du Pont, en référence au pont Notre-Dame situé au pied du clocher.
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Saint-Pée-sur-Nivelle étendue sur 6 500 ha fait partie de la province basque du Labourd. Elle est proche de la côte basque (Saint-Jean-de-Luz à 14 kilomètres) et connue aussi pour le lac de Saint-Pée-sur-Nivelle, étendue de 12 ha qui comporte une base de loisir à deux kilomètres du vieux-centre.
La commune du canton d'Ustaritz s'étend sur un large territoire, frontalier avec l'Espagne au sud-est (Urdazubi et Zugarramurdi).
Quartier Ibarron
C'est dans ce quartier que nous avions loué une partie de cette maison en 1998 et emmené deux de nos petits enfants en vacances
ils étaient jeunes (ces deux photos ne sont pas très belles ,elles sont scannés ! )Papy lit tout en surveillant ce petit monde
Eglise St Pierre
On remarquera que des bancs en pierre bordent ce fronton et que le parterre est marqué de grands matchs à la chisterra y ont lieu
Ma mairie
Le lavoir Legarreta de Saint-Pée-sur-Nivelle fût construit entre 1846 et 1855 au XIXème siècle, il se situe dans le bourg de Saint Pée sur Nivelle. Le lavoir était le lieu de discussion des femmes du villages, en effet lorsqu’elles venaient laver leur linge elles en profitaient pour discuter des potins du village.
A 2 kms du centre du village,
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