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Orages sur la mer
On dirait que la mer est boursouflée de rage
Et ses flots sont bombés sous le ciel nuageux :
La Méditerranée du vent et de l’orage !
Couleur d’ardoise pâle éclaboussée de bleu,
Elle n’a plus du tout cet aspect apaisant
Qu’on croit perpétuel. Puis elle devient grise –
Le gris sombre et profond de son frère océan –
Et se creuse soudain déchirée par la bise.
Un long éclair zébrant a fait craquer le ciel
Et la mer a hurlé sous son coup de boutoir.
Les lames agitées ressemblent à des ailes,
Les rémiges claquants d’immenses corbeaux noirs.
Maintenant tout se mêle, et les nues, et les vagues,
Maëlstrom affolé et enchevêtrement.
La foudre en continu frappe à grands coups de dague
La surface de l’eau : un combat de Titans !
« Vette Fonclare »
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Commentaires
Bonjour Hélène,
jolie création pour illustrer ce poème de Vette de Fonclare sur la mer...
Le temps est toujours aussi chaud, il faut s'y habituer..
Bonne journée, gros bisous
Bonjour Hélène,
hier avec l'aide de Jérémy j'ai pris un bain dans la piscine,
figures-toi que l'eau était à 34°..
Ce n'était pas très rafraîchissant mais agréable de nager..
J'espère que ton aménagement se termine ...
Bonne journée, gros bisous
Bonsoir Hélène,
J'espère que ton déménagement s'est bien passé, j'ai bien pensé à toi. En plus avec ces chaleurs cela a dû être fatiguant pour toi.
Je ne savais pas que tu connaissais Vette de Fonclare, j'adore ses poèmes sur la Provence, sa terre d'adoption, comme moi.
Pour ceux ou celles que ces poèmes intéressent, voici son lien :
Le poème tombe à point, avec tout ce qui nous tombe sur la tête en ce moment. L'Italie a bien été touchée par la grêle aussi, jusqu'à 12 cm de diamètre (incroyable !). On part au mois d'août dans les Alpes rechercher un peu de fraîcheur.
Belle soirée.
Gros bisous. Martine.
La mer est aussi imprevisible que la montagne où il ne faut pas s'aventurer sous n'importe quelles conditions météo.
A tout bineôt chère Hélène. Lorsque tu seras bien installée, au calme et que tu auras quelques minutes, donne moi de tes nouvelles. Je t'embrasse.
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Elle si calme peut se montrer terrifiante sous les poussées du vent, comme le disait un fameux dicton, méfie toi de l'eau qui dort
Amicalement
Claude