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Les crèches de Lucéram
Porches, voûtes, caves, escaliers, fontaines, lavoirs, écuries et four communal deviennent des lieux d'expression artistique. Les rubans aux fenêtres, les branchages qui garnissent les portes, la forêt de sapins qui envahit les places et les placettes sont dans un cadre typique et préservé. Les santons sont traditionnellement représentés en argile ou en terre cuite. A Lucéram, on les découvre en bois, tissu, fer forgé, pâte à sel, craie, cire, pinces à linge, tricotés et même en bouchons ! Alors dans ce décor naturel et authentique, l'esprit de Noël souffle naturellement, pur, mystique et festif. On peut même découvrir des animaux vivant... bref une ballade dans ce village c'est un vraie retour aux sources du Noël d’autrefois en pays du Comté de Nice.
Le village médiéval de Lucéram réputé pour son patrimoine historique et culturel remarquable organise chaque année le circuit des crèches ». Vous parcourrez les ruelles métamorphosées, parées d'une multitude de branches vertes décorées de nœuds et de boules aux couleurs de Lucéram et du comté de Nice à la découverte de plus de 400 crèches exposées dans les rues, les caves, sur les fontaines, sous les porches, à l'Eglise, à la tour, aux chapelles, au four à pain, et au Musée de la Crèche.
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maison aux trois visages au coin du Miroir
La maison aux trois visages est une maison à colombages du xve siècle de Dijon en Côte-d'Or, à l'angle 54, 56 rue de la Liberté et 1 rue Bossuet. Elle est classée aux monuments historiques depuis le 3 février 1971.
Cette maison divisée en trois parties et composée de trois pignons accolés est construite entre 1450-1470, elle fut habitée par les moines des Chartreux2.
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La maison Maillard ou maison Milsand est un des hôtels particuliers les plus remarquables de Dijon en Côte-d'Or de style Renaissance du xvie siècle. L'hôtel est classé aux monuments historiques depuis 1891.
Façade de cet magnifique hôtel particulier rue des Forges
Cour intérieur
Escalier dans la cour intérieur
Historique
En 1561 cet hôtel particulier est construit au 38 rue des Forges à Dijon pour Jean Maillard (maire de Dijon de 1560 à 1561) avec une remarquable façade richement sculptée. Le niveau supérieur de la façade et la façade de la cour arrière sont attribués à l'architecte et sculpteur bourguignon Hugues Sambin (1520-1601).
Au début du xxe siècle le rez-de-chaussée est percé pour l’installation d'une boutique commerciale de luxe en coffrage de bois.
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juin 2013
ce qui suit se trouve sur la porte Guillaume
plaque commémorative Thomas JEFFERSON
Minerve
ume musée de l'histoire
génie montrant à la bougogne les armes du prince de Condé
1902
1912 (environs)
Porte Guillaume : l’histoire d’un arc de triomphe dijonnais
Elle a eu autant d’appellations que de légendes. La porte Guillaume, notre bien-aimé arc de triomphe dijonnais, est bien plus que la porte d’entrée du centre historique, place Darcy. Elle a joué un rôle dans la défense et la liberté de toute une ville.
Connaissez-vous l’histoire de la porte Guillaume, cet arc de triomphe imposant qui offre à la place Darcy une atmosphère si particulière ? Symbole d’entrée dans le vieux Dijon – et petite attraction pour les touristes -, elle constitue aussi un des principaux lieux de rassemblements de la ville. Mais en creusant un peu, sa symbolique dépasse les siècles. Cette porte est le témoin des derniers jours de l’Ancien Régime. Érigé au XVIIIème siècle, l’arc classé aux monuments historiques depuis 1938 ne servait pas qu’à faire joli, loin de là !
XIIème siècle : une porte indispensable et salutaire
À l’origine, il existait pour défendre la ville. Flanqué de deux tours rondes, d’un pont-levis et d’un bureau d’octroi, il était même un maillon primordial du système défensif dijonnais imaginé par le duc de Bourgogne Hugues II, dit le Pacifique (qui a pourtant combattu sous la bannière d’un certain Louis VI le Gros… le héros des Visiteurs). À cette époque, la ville était cloisonnée de remparts, on ne pouvait y rentrer que par l’une de ses 12 portes. Celle place Darcy était l’une des entrées principales, puisqu’elle était le point de rencontre des deux routes de Paris provenant de Troyes et de Sens.
Véritable garantie de sécurité en temps de guerres et d’invasions, l’enceinte fortifiée perdit de son utilité avec le temps. Elle tomba progressivement en ruine, provoquant l’ire de certains citadins du XVIIIème siècle, qui rêvaient d’un monument plus esthétique.
Merci à Eva Marie Debas , vers qui je me suis procurée ces renseignements , pas facile à trouver !!
Les derniers vestiges restant le premier "pilier st Pierre "à coté de la place Wilson ; le deuxième remparts de la rue de Tivoli
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Oh toi lumière
Oh toi lumière ,redonne nous goût à la vie
Efface nos peines et nos soucis
Donne nous ta petite flamme pour nous éclairer
Afin de tout oublier
Laisse les étoiles nous transporter
Vers un lieu de gaité et de sérénité
Que ceux qui sont dans l’obscurité
Est la force et la volonté
Toi lumière à la couleur du miel
Apporte nous les couleurs de l’arc en ciel
Pour que tous les amoureux
Est cet éclat dans leurs yeux
Nous avons la vie il faut y croire
Brille pour nous laisser l’espoir
Que chaque jours qui se lève
Nous emmène dans un monde de rêves
Enlève de nos regards cette tristesse
Lumière donne nous l’allégresse
Fait en sorte que nos émotions
Se transforme en passion
Gardons nos yeux d’enfants plein de flammes
Malgré que nous soyons des hommes et des femmes
Que les années passant de petites bougies
Fassent toujours parties de notre vie
Lumière fait que la nuit nous nous éclairions
Peut importe torches, bougies ou lampions
Fait que la lumière du soleil réchauffe nos cœurs
Puisse notre visage rayonner de bonheur.
« Hélène »
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Voici son lien :http://chinou.canalblog.com/
Le premier pour son savoir , sa culture , son humour et sa gentillesse, il nous a énormément apporté ; le second par sa voix ,son carisme et surtout pour avoir su rassembler une foule immense recueillie dans une même ferveur, pour l'accompagner, ce que personne n'avait su provoquer jusqu'à présent,unissant ceux qui l'aimait ,mais même ceux qui n'étaient pas fan
Au revoir l'artiste ! tu nous laisse en héritage tes superbes chansons, et le souvenir de cette foule qui tour à tour chantait, applaudissait ou restait recueilli dans un profond silence
Merci Chinou , à travers toi j'ai voulu rendre aussi un hommage à ces deux grands hommes ;qui resteront dans nos mémoires et dans notre coeur. J'invite mes amis (es) à aller te visiter , toi qui sait par ton coup de crayon donner vie à chaque chose, toi qui a un regard sur tout et un don indéniable à croquer chaque chose de la vie
Merci mon amie
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Entrée principale vue de la place Darcy (rail du tram)
reproduction de l'ours blanc
Sous terrain de la fontaine (pris sur le net )
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Le jardin Darcy ou square Darcy est un jardin public de 1 hectare de style
néorenaissance de la place Darcy au centre de Dijon en Côte-d'Or dédié à l'hydraulicien Henry Darcy (1803-1858).
Historique:
En 1880 le jardin Darcy (le premier jardin public de Dijon) est réalisé en style néorenaissance sur le réservoir d'eau par l'architecte Félix Vionnois (1841-1902) avec de nombreuses variétés d'arbres et de fleurs, terrasses à balustrades, bassins, fontaines, chutes d'eau, statues, 4000 m² de pelouse et de zones de jeux pour les enfants.Un monument abritant le buste de Darcy est érigé avec l'inscription suivante : "Henri Darcy de Dijon, ingénieur en chef du Département a conçu et inauguré l’oeuvre avec habileté et désintéressement ; un legs de l’abbé Audra coucourrut à l’entreprise ; Victor Dumay, Maire de Dijon, l’a secondé de son zèle, sous l’administration éclairée d’Achille Chaper, préfet de la Côte d'Or."
L’ours blanc de l'entrée du parc est une reproduction de 1937 par Henry Martinet de l’Ours blanc (Pompon) du Musée d'Orsay de François Pompon (1855-1933). On y trouve aussi la fontaine jeunesse, une fontaine décorée de bronzes d'enfants et de grenouilles dûs au sculpteur Max Blondat. Cette fontaine a été installée en 1904 et a connu un grand succès, on la retrouve dans plusieurs villes européennes (Zurich, Düsseldorf et Odessa) ainsi qu'à Denver.
Depuis la construction du tramway, le réservoir est utilisé pour stocker les eaux de drainage du parking de la Trémouille. Cette eau sert à l'arrosage des espaces gazonnés du tramway et des plantations du jardin de l'Arquebuse.
Cinéma
Le film "La Seconde Vérité", avec Michèle Mercier et Robert Hossein, a été tourné en 1966 à Dijon[5] dont une scène au Jardin Darcy.
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