Histoire de Keukenhof

Le parc fut créé au 15ème siècle, alors qu’il était rattaché au domaine du Château de Teylingen. Il servait initialement de terrain de chasse, et aussi de jardin potager, où Jacqueline de Bavière (1401-1436) y recueillait les légumes et les herbes pour aromatiser sa cuisine. D’ailleurs, Keukenhof signifie littéralement « le jardin de la cuisine ».

L’amour des Pays-Bas pour la tulipe n’est cependant pas endémique : c’est un Français, Charles de L’Écluse – ou Carolus Clusius – (1526-1609) qui importe de l’Empire Ottoman turc vers la Hollande cette fleur aux couleurs vives. Très vite, le commerce de tulipes devient florissant et les bulbes subissent une spéculation sans limites : au 17ème siècle, les tulipes étaient tellement prisées qu’elle servirent de monnaie d’échange jusqu’à ce que se créé la première bulle financière de l’époque moderne 

Ce n’est qu’en 1949 que le parc fut transformé, repensé pour accueillir l’exposition de fleurs à bulbes à l’instigation du maire de Lisse de l’époque.

Les massifs de ce sol de sablière et d’argile sont élaborés par les architectes jusqu’à un an avant l’ouverture du parc. La particularité des bulbes de Keukenhof, c’est qu’ils sont plantés à la main, entre octobre et décembre. Imaginez : 7 millions de bulbes plantés manuellement en trois mois ! Pour les jardiniers, cela représente un travail de préparation titanesque.

""Les tulipes sont à leur apogée à partir du 15 avril : on peut déjà contempler les crocus dès la fin mars, puis les narcisses, les jacinthes, les roses, les orchidées, les lys et les jonquilles à la mi-avril, pour soigner le regard émerveillé d’un million de visiteurs qui, le temps d’une marche, sont invités à un voyage poétique aux premières loges d’un spectacle floral flamboyant. Le comble de l’esthétique !

""Visiter Keukenhof et ses champs de tulipes, c’est plonger dans un univers enchanteur pour un spectacle grandiose, mais hélas, éphémère.

Rouge et Noir

Rouge pour cette souffrance

D’où ne s’échappe aucune espérance

Noir pour cette mélancolie

Qui ruisselle dans ma vie

Rouge est mon destin

Puisqu’il est de chagrin

Noir pour ces pleurs

Qui ont envahi mon cœur

Rouge pour toutes ces doléances

Qui sont en moi et m’élancent

Noir pour toutes les déceptions

Qui m’ont fait perdre la raison

Rouges sont mes larmes

Larmes qui me désarment

Noire est ma joie

Puisque l’espoir n’est plus en moi

Mélange de rouge et de noir

Forme un corps de désespoir

Rouge et noir, couleurs du drame

Sont celles de mon âme

MrTimmy

Ne croyez pas que je suis comme cette poèsie , mais je n'ai rien trouvé de plus gai! 

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Très peu de photos de la digue ,il faisait très mauvais

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L'Afsluitdijk (« Digue de fermeture » en français)

Est une digue de grande taille — 32 km — située aux Pays-Bas, construite entre 1927 et 1933 et reliant Wieringen (province de Hollande-Septentrionale) à Súdwest-Fryslân (province de Frise). Elle est la pièce maîtresse des travaux du Zuiderzee effectués sous la direction de l'ingénieur Cornelis Lely, à l'époque ministre des Transports et des Aménagements hydrauliques. Au sens strict du terme, il ne s'agit pas d'une digue mais d'un barrage, puisque le niveau des eaux diffère de chaque côté.

Passerelle enjambant l'autoroute

Photos avec notre bus et travailleur à la construction de la Digue 

Statue de l'ingenieur Cornely Lely 

Plaque commémorative 

Construction de la digue prise sur le net

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L'ouvrage a une longueur de 32 km pour une largeur de 90 m (180 m sous l'eau) et une hauteur de 7,25 m au-dessus du niveau de la mer1. Cette digue ferme le Zuiderzee, un ancien golfe de la mer du Nord, afin de le transformer en une étendue d'eau douce désormais dénommée IJsselmeer. Elle accueille de plus une autoroute (A7-E22) qui relie directement la province d'Holland Septentrionale à celle de Frise. Cette première ne se trouve pas au sommet de la digue, si bien que la mer des Wadden située sur son côté nord, n'est pas visible de la chaussée. Un poste d'observation donnant une vue globale existe au milieu de l'ouvrage.

Aux deux extrémités de la digue, des systèmes d'écluses permettent le passage de bateaux. Elles sont accompagnées de vannes qui aident à décharger périodiquement vers la mer des Wadden le surplus d'eau du lac, tant apporté par les rivières (en particulier l'IJssel) que celle pompée dans les polders