Marcel Pagnol raconte son enfance, sa naissance à Aubagne en Provence , et les origines de ses parents Joseph et Augustine. Son père Joseph Pagnol, instituteur, est nommé à l'école du Chemin des Chartreux et la famille s'installe à Marseille. Tous les jeudis et tous les dimanches, il fait une promenade dans le parc Borély, au bord de l'étang avec sa tante Rose. C'est d'ailleurs là qu'elle rencontre l'oncle Jules qui se fait passer auprès de l'enfant pour le propriétaire du parc Borely.

Tout semble opposer l'instituteur anticlérical au truculent et catholique oncle Jules, pourtant les deux familles décident de louer ensemble une maison de campagne dans la garrigue, la Bastide Neuve pour y passer les vacances d'été. Après un long trajet dans les chemins, derrière la mule tirant les meubles et les provisions nécessaires au séjour, ils parviennent à cette petite villa située aux Bellons après le village de la Treille. Ces vacances sont une révélation pour le jeune Marcel qui tombe amoureux des collines, de sa végétation sauvage, de ses massifs de roche : Garlaban, Tête Rouge, le Taoumé.

Il suit en secret Joseph et Jules partis sans lui faire l'ouverture de la chasse, et après s'être égaré, il finit par retrouver les chasseurs au son des coups de fusil tirés par son père qui abat deux bartavelles. Ce doublé magnifique fait la renommée de Joseph dans le village de la Treille, pour la plus grande fierté de son fils.

Le curé du village veut prendre une photo de Joseph, Marcel et des bartavelles, qu'ils garderont en souvenir pour la vie, en contradiction flagrante avec les moqueries antérieures de l'instituteur envers un de ses collègues qui s'était fait photographier avec un poisson de taille exceptionnelle qu'il avait pêché.

Marcel Pagnol, un destion exceptionnel

Ce fut à Aubagne au 16 cours Barthélémy, le 28 février 1895 que Joseph Pagnol, instituteur, et Augustine, couturière, donnèrent naissance à leur premier enfant nommé Marcel. Quelques années plus tard, naquit son frère Paul, suivi de sa sœur Germaine et de René, le petit dernier. Hélas, Augustine décéda alors que l'aîné de la fratrie était âgé de seulement 15 ans.

Marcel s’intéressa très tôt à la littérature et au monde du cinéma. Il devint enseignant. Il a à peine 20 ans, lorsqu’il épousa Simone Colin, elle qui fut la mère de ses trois enfants : Jacques (1930), Jean-Pierre (1933) et Francine (1935).

Ce fut en 1924 qu’il monta pour la première fois une pièce de théatre " Les marchands de gloire", s’en suivi de "Jazz" puis "Topaze" en 1928 au Théâtre des Variétés et "Marius" en 1929 au Théâtre de Paris. Rapidement ses œuvres seront adaptées au cinéma.

Marcel Pagnol réalise de multiples chef-d’oeuvres issus pour certains de sa plume dont : "Angèle", "Merlusse", "Topaze", "Regain", "César", "Le Schpountz", "La femme du boulanger", "La fille du puisatier", "Nais", "Manon des sources", "Ugolin".

Il réuni sous sa houlette à plusieurs reprises de nombreux acteurs tels que Fernandel et Raimu, qui devint avec le temps de grand amis, et permi à ces deux artistes de bénéficier d'une notoriété importante, qui de plus traversa plusieurs générations.

Quelques années plus tard, il divorça pour se remarier quatre ans après avec Jacqueline Bouvier, qui lui donna deux enfants, Frédéric (1946) et Estelle (1951-1954).

Parution à la fin des années 50 des deux premiers tomes des souvenirs d'enfance "La gloire de mon père" suivi du "Château de ma mère" qui lui vaudra une adaptation au cinéma à titre posthume dans les années 90.

Marcel décéda le 18 avril 1974 à Paris. Il est entérré proche de sa maison d'enfance la "Bastide Neuve" à la Treille à Camoins les Bains aux côtés de ses proches mais également de son grand ami Lili des Bailons.

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Quelques photos des collines de Marcel Pagnol

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  L’identité culturelle d’Aubagne s’articule autour de deux thèmes majeurs : Marcel Pagnol et l’argile.

La joute Provençale est un combat sur l'eau entre deux personnesse trouvant chacune sur un bateau, en hautvd'un plateau appelé en provençal "teinteine", le but du jeu consiste à envoyer l'adversaire à l'eau au myen d'une lance. Chaque joueur est protégé par un plastron en bois et tient dans la main gauche un témoin qui doit l'empécher d'attraper la lance de son adversaire.

Il existe quelques règles suplémentaires, notamment celle de ne pas avoir les pieds joints au moment de la frappe, en effet le jouteur place son pied gauche devant une ligne blanche et son pied droit derrière cette ligne, si le pied du joueur franchit  la ligne blanche au moment de la frappe il est disqualifié au profit de son adversaire  seulement s'il passe l'avant.

la joute provencale est un sport de passionnés. Pratiqué de mai à septambre, ce sport de force, réunissait à l'origne uniquement les hommes, mais aujourd'hui il attire de plus en plus de femme , vous en verez unz d'ailleurs sur la vidéo.

Les joutes se pratiquent tout le long de la méditérannées et comprend de nombreux comités

Les calanques s'égrènent de Cassis à  Marseille comme des perles inestimables et rares .

Fille de la mer, du soleil et du vent ,elles étaient avec fierté la fulgurante beuté d'une nature généreuse et unique.

Ainsi s'exprimaient les bateliers Cassidains dans cette poésie exhubérante caractéristiques des poètes provençaux

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Cassis

Prononcer (Cassi sans faire sonner le "s") commune des Bouches du Rhône. Caractérisée par les falaises et les Calanques présentes sur son territoire et pour le vin de Cassis(blanc et rosé) produit dans la région.

La devise provençale attibuée à "Frédérique Mistral" est (qu'a vist Paris, se noun vist Cassis, n'ai ren vist) ce qui signifie (qui a vu <Paris et pas Cassis, n'a rien vu)

Le nom de ses habitants est: cassidain, du provençal cassiden qui peut avoir des origines ligure

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Le Cap Canaille situé dans les Bouches du Rhône. s'avançant dans la mer Méditerranée, il est constitué de rivage rocheux et escarpés dominés par l'extrémité occidentale des falaises de Soubeyrannes qui sont, après celles de Slieve Laugue en Irlande, l'une des plus hautes falaises maritimes d'Europe et la plus haute falaise de France avant celle d'Etretat avec ses 363 m d'altitude. Il se rouve sur la commune de Cassis, à l'ouest de la Ciotat. Sa roche qui tire vers le rouge est composée de calcaires détritiques.

Une route, D141 dite "route des Crêtes", relie cassis à la Ciotat en s'approchant du bord de la falaise ;  plusieurs belvédères y sont aménagés.

Son nom est dû à une déformation du provençal " Cap Naïo", cap naille en Français , mal compris par les topographes français.