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    Jardin Darcy  Dijon

     Entrée principale vue de la place Darcy  (rail du tram)

    Jardin Darcy  Dijon

    Jardin Darcy  Dijon

    Jardin Darcy  Dijon

     

    Jardin Darcy  Dijon

     

    Jardin Darcy  Dijon

    Jardin Darcy  Dijon

    reproduction de l'ours blanc  

    Jardin Darcy  Dijon

    Jardin Darcy  Dijon

    Jardin Darcy  Dijon

    Jardin Darcy  Dijon

    Sous terrain de la fontaine (pris sur le net )

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     Le jardin Darcy ou square Darcy est un jardin public de 1 hectare de style

    néorenaissance de la place Darcy au centre de Dijon en Côte-d'Or dédié à l'hydraulicien Henry Darcy (1803-1858).

    Historique:

    En 1880 le jardin Darcy (le premier jardin public de Dijon) est réalisé en style néorenaissance sur le réservoir d'eau par l'architecte Félix Vionnois (1841-1902) avec de nombreuses variétés d'arbres et de fleurs, terrasses à balustrades, bassins, fontaines, chutes d'eau, statues, 4000 m² de pelouse et de zones de jeux pour les enfants.Un monument abritant le buste de Darcy est érigé avec l'inscription suivante : "Henri Darcy de Dijon, ingénieur en chef du Département a conçu et inauguré l’oeuvre avec habileté et désintéressement ; un legs de l’abbé Audra coucourrut à l’entreprise ; Victor Dumay, Maire de Dijon, l’a secondé de son zèle, sous l’administration éclairée d’Achille Chaper, préfet de la Côte d'Or."

    L’ours blanc de l'entrée du parc est une reproduction de 1937 par Henry Martinet de l’Ours blanc (Pompon) du Musée d'Orsay de François Pompon (1855-1933). On y trouve aussi la fontaine jeunesse, une fontaine décorée de bronzes d'enfants et de grenouilles dûs au sculpteur Max Blondat. Cette fontaine a été installée en 1904 et a connu un grand succès, on la retrouve dans plusieurs villes européennes (Zurich, Düsseldorf et Odessa) ainsi qu'à Denver.

    Depuis la construction du tramway, le réservoir est utilisé pour stocker les eaux de drainage du parking de la Trémouille. Cette eau sert à l'arrosage des espaces gazonnés du tramway et des plantations du jardin de l'Arquebuse.

     Cinéma

    Le film "La Seconde Vérité", avec Michèle Mercier et Robert Hossein, a été tourné en 1966 à Dijon[5] dont une scène au Jardin Darcy.

    Jardin Darcy  Dijon photos prisent à plusieurs saisons


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    En même temps je souhaite un joyeux anniversaire à un de mes petits enfants  

    St Nicolas

    Quel âge as-tu Saint Nicolas ?
     As tu vraiment connu le temps
     Où mon papa était enfant ?
     Etait-il plus poli que moi
    Et moins souvent dans les nuages ?
     Ou mangeait-il avec les doigts
     En lisant des livres d’images ?
     Quel âge as-tu Saint Nicolas ?
     Te souviens -tu de ces années
     Où maman berçait sa poupée ?
     Etait -elle comme aujourd’hui
     Aussi douce et aussi jolie ?
     Aimait-elle déjà les chats
     Et les fleurs qu’on ne cueille pas ?
     Quel âge as-tu Saint Nicolas ?
     Ton âne est plus bavard que toi
     Il m’a dit :Si Saint Nicolas
     Malgré les ans ne vieillit pas,
     C’est parce qu’il fait du yoga !

    Pierre Coran

    Ecole primaire Jean de la Fontaine (2007)

    St Nicolas


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    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    La cour de Bar

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    Tour Philippe le Bon

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

     salles des états

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

     Bureau du Maire

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    Chapelle des élus

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    Escaliers Gabriel

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

     

    Salle du palais des Ducs

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    Salle de Flor (un peu flou)

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    Salle des Gardes 

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

    contenant les tombeaux des Ducs de Bourgogne

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    Le palais des ducs et des états de Bourgogne à Dijon en Côte-d'Or est un ensemble architectural comprenant plusieurs parties imbriquées : la plus ancienne est le palais ducal des xive siècle et xve siècle, de style gothique, qui comprend encore un logis (bien visible depuis la place des Ducs), les cuisines ducales (cour de Bar) et deux tours : la tour de la terrasse, ou tour Philippe le Bon et la tour de Bar. La plus grande partie des bâtiments visibles aujourd'hui a cependant été bâtie aux xviieet surtout xviiie siècles, dans un style classique, avec le dessin de la place royale, aujourd'hui place de la Libération. Enfin, la façade du musée des Beaux-Arts, sur la place de la Sainte-Chapelle, a été élevée au xixe siècle à l'emplacement de la Sainte-Chapelle de Dijon détruite en 1802. Cet ensemble, dans un remarquable état de conservation, témoigne de presque un millénaire de vie politique à Dijon.

    Le Palais fut le siège des souverains de l'État bourguignon, les ducs de Bourgogne. Classé au titre des monuments historiques par la liste de 1862 et par arrêté de 19261, il abrite aujourd'hui la mairie de Dijon et le musée des beaux-arts de Dijon.

    Histoire du palais des ducs et des états de Bourgogne

    Le duché de Bourgogne est fondé au ixe siècle vers 880 à partir du Royaume de Bourgogne, par les rois Carolingien Louis III de France et Carloman II de France et les membres princiers de leur famille qui se partagent l'Empire carolingien .

    Richard II de Bourgogne (dit Richard le Justicier) est nommé marquis puis premier duc de Bourgogne et un des six pairs laïcs primitifs de France par son suzerain le roi Louis III de France .

    Le somptueux palais des ducs de Bourgogne est entièrement reconstruit à partir de 1365 et à partir du vieux château ducal avec la tour de Bar au cœur de Dijon, capitale du duché de Bourgogne et des Pays-Bas bourguignons, par le premier duc de Bourgogne de la Maison capétienne de Valois le prince et duc Philippe II de Bourgogne dit Philippe le Hardi, fils du roi Jean II de France et ses trois successeurs Jean sans PeurPhilippe le Bon : façade flamboyante, logis ducal de 1448 à 1455, grande salle des festins et cuisine ducale de 30 cuisiniers en 1433.

    La Tour de Bar (1365-1370)

    Philippe le Hardi, entreprit la rénovation du palais des ducs capétiens dès son arrivée à Dijon, et fit construire la Tour Neuve (1365) par Belin de Comblanchien. Cette tour résidentielle de trois étages est pourvue de vastes salles équipées de grandes cheminées. Le rez-de-chaussée aux clefs de voûte sculptées, servait de salle capitulaire pour la Sainte-Chapelle. Elle servit de prison au roi René d'Anjouduc de Bar et de Lorraine. Le roi René fut fait prisonnier par Antoine de Toulongeon à la bataille de Bulgnéville, le 21 juillet1431. Il fut retenu par Philippe le Bon jusqu'au 1er mai 1432. Ayant laissé ses deux jeunes fils comme otages à Dijon pendant son élargissement, il se reconstitua prisonnier en 1435, et, devenu duc d'Anjoucomte de Provenceroi de Naples et de Sicile, demeura jusqu'au 8 novembre 1436 au second étage de cette tour, qui prit ensuite le nom de Tour de Bar

    La Salle des Gardes, grande salle de palais de Philippe le Bon (1450-1455)

    La grande salle du palais, dite salle des gardes depuis le xviiie siècle, se trouve au premier étage  Elle fait 18 m de long, m de large et m de haut. C'était le cadre des grandes fêtes de la cour de Bourgogne. Elle possède une tribune pour les musiciens et une cheminée monumentale couverte d'une hotte verticale avec remplages flamboyants réalisés par Jean Dangers en 1504 après l'incendie qui a ravagé le palais en 1503. La salle a été reconstruite pour la visite du roi Henri II, en 1548 et communique avec la tour de bar et les appartements du premier étage

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    J'ai essayé de raccourcir les textes mais pas évident pour plus de détaille voir: wilipédia

    Palais des Ducs de Bourgogne Dijon

     


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  • Faire démarrer !!

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    Je voudrais être une fleurs 

    Lorsque le beau printemps se revêt de verdure,

    Que l'eau coule en chantant près des frêles roseaux,
    Que le ciel est d'azur, que les petits oiseaux,
    De leurs tendres chansons, célèbrent la nature,
    Fleurs, vous apparaissez et parfumez le coeur !...
    Oh ! tout le monde, alors, vous aime et vous admire !...
    Je suis jaloux de vous... Pour que l'on me désire !...
    Je voudrais être fleur, je voudrais être fleur !...

    C'est toi petite fleur, que, de sa tendre lyre,
    Un doux rêveur, célèbre en vers harmonieux.
    Le poète te chante en la langue des dieux,
    Car ton suprême éclat le captive et l'inspire...
    Ton parfum enivrant sait ranimer son coeur,
    Ta beauté sait chasser les pleurs de sa chambrette
    Pour être célébrée ainsi par le poète,
    Je voudrais être fleur, je voudrais être fleur !...

    Au temple du Seigneur, c'est devant vous qu'on prie,
    Qu'on implore à genoux une place au grand ciel.
    Devant vous, car c'est vous qui décorez l'autel
    De notre mère à tous, de la Vierge Marie.
    Lorsque je vous là, je sens battre mon coeur
    Et je dis malgré moi, en un profond mystère :
    "Pour avoir une place aussi près de ma Mère,
    Je voudrais être fleur, je voudrais être fleur !..."

    O fleurs, c'est encor vous que, sur les mausolées,
    En souvenir des morts, on étale en tapis...
    Et quand vous n'êtes pas sur les tertres bénis,
    Ces tombes sont alors tristes et désolées.
    Oh !... de ces pauvres morts, pour réchauffer le coeur,
    Amoindrir les regrets, leur tenir compagnie,
    Pour donner aux tombeaux un petit peu de vie,
    Je voudrais être fleur, je voudrais être fleur !...

    Gustave MONTSEC

    Pour vous faire oublier quelques instants la morosité du temps !


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  • J'ai concocté un petit dessin animé accompagne de citation de nos hommes célèbres 

    Ne démarre pas tout seul ???

    En attendant de repasser aux choses sérieuse !


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  • Je n'ai pas visité encore ce château ce qui va suivre vient de mon livre et du net 

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Le Marquis de Vauban né : Sébastien Le Prestre, dans l'Yonne le 15 mai 1633, homme de guerre , il fut surtout connu pour être le génial inventeur du fameux "pré carré" et pour ses nombreuses fortifications, il incarne l'idéal classique de "l'honnête homme" qui consacre sa vie et son talent au bien commun de ses contemporains 

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    Le château de Bazoches

    Le Château de Bazoches fut la demeure familiale du Maréchal de Vauban, maitre incontesté de la stratégie des sièges et de l’architecture militaire. 

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Cour interieur

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Pediluve

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

     parterre évoquant les fortifications de Vauban

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    armure du siège de vauban

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Chapelle du château

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Grande galerie 

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Chambre de Vauban

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

     bibliothèque

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

    Caveau de Vauban

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )

     salon rose

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    Non loin de la colline de Vézelay, aux portes du Parc Naturel Régional du Morvan, le château féodal de Bazoches, construit au douzième siècle, a été successivement propriété des seigneurs de Bazoches, Chastellux, Montmorillon et la Perrière.

    En février 1675, Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban, achète Bazoches qui avait appartenu à ses aïeux maternels et qui devient la demeure familiale de sa femme et de ses enfants. Si Vauban ne fait que de brefs séjours entre les campagnes militaires et le service du roi, il tenait particulièrement à ces escales dans ses terres morvandelles.

    C’est à Bazoches qu’il rédigera certains de ses ouvrages touchant non seulement la vie militaire, les armes et les fortifications, mais encore une multitude de sujets tels que l’agriculture, les forêts, les monnaies, les sciences… Ses Oisivetés et la fameuse Dîme royale (1707) dont la diffusion fut aussitôt interdite. Vauban proposait en effet un audacieux programme de réforme fiscale pour tenter de résoudre les injustices sociales et les difficultés économiques des « années de misère » de la fin du règne du Roi Soleil, de remplacer les impôts existants par un impôt unique de dix pour cent sur tous les revenus, sans exemption pour les ordres privilégiés (le roi inclus)…

    Dès son installation, Vauban transforma le château de Bazoches en garnison militaire. Il fit effectuer de nombreux aménagements, dont une grande galerie afin d’y installer ses ingénieurs militaires. C’est là que seront réalisés les études et les plans de plus de trois cents ouvrages militaires, places fortes et fortifications, disséminés dans toute la France. C’est de là également que partaient les instructions de Vauban. Des estafettes à cheval étaient constamment prêtes à gagner les quatre coins du pays emportant dans des fourreaux cylindriques en métal, les plans et les ordres de Vauban.

     Le château présente une architecture trapézoïdale constituée de quatre tours et d’un donjon entourant une cour intérieure. Les communs abritent les écuries. Les actuels propriétaires, descendants de la fille ainée de Vauban, Charlotte de Vauban mariée au comte de Mesgrigny d’Aulnay, gardent de nombreux souvenirs de leur célèbre ancêtre. Belle vue sur la calme campagne environnante, sur le village de Bazoches-du-Morvan et son église Saint Hilaire. Le cadran solaire est aux armes de Vauban avec sa devise « Bellicae virtutis praemium » – Le fruit de la vertu guerrière.

    Jardin à la Française, portail pour les carrosses, escalier d’honneur, riche mobilier, chambre à coucher, bibliothèque et bureau d’étude, portraits de personnages illustres, arbre généalogique immense, buste sculpté, armure ayant appartenu au marquis nommé maréchal de France par Louis XIV, et le magnifique plan-relief octogonal parfait de Neuf-Brisach (Alsace) – sis sur la rive gauche du Rhin créée en 1697 pour remplacer Vieux Brisach, sur la rive droite, rasé après le traité de Ryswick de 1697.

    Le 30 mars 1707, le Maréchal mourut à Paris, dans maison située au no 1 de la rue Saint-Roch actuelle et sur laquelle, en 1933, à l’occasion du tricentenaire de la naissance de Vauban, la ville de Paris y fit apposer une plaque commémorative.

    Le caveau de Vauban dans l’église de Basoches

    Vauban fut inhumé, selon son souhait, dans l’église de Bazoches. En 1688, il avait fait rebâtir une chapelle pour y préparer l’emplacement de son caveau. Un buste de bronze fut inauguré sur la place. La révolution profana la tombe. En 1808, par ordre de Napoléon, son cœur fut transporté aux Invalides, et placé dans le monument élevé à sa mémoire en face de celui de Turenne.

    Vauban  né Sébastien Le Prestre (infatigable constructeur )


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