•  

    Au pays de tes rêves.

    Au pays de tes rêves,

    Quand se taisent les oiseaux,
    Tu rayonnes avec brio.
    Quand sous tes yeux, je m'élève.

    Aussi libre qu'épanouie,
    Je voyage sans cesse ;
    À chaque port de ta vie,
    Est honorable richesse.

    Parce que telle une femme,
    Désirable et désireuse, je t'invite
    À chaque étincelle de flamme,
    Au doux songes que j'abrite.

    Tes espoirs, je les façonne,
    Par le coeur et les pensées,
    Comme lorsque tes bras frissonnent,
    J'ai besoin de t'embrasser.

    Tes pupilles horizon,
    Me dessinent en déesse,
    D'une mendiante en haillon,
    Tu fais de moi une princesse.

    Au pays de tes rêves,
    Quand le sommeil vient à manquer,
    Ton amour pour moi sans trêve,
    Est un vaste banquet.

    Où se retrouvent nos deux coeurs,
    Unis en une fabuleuse maisonnée,
    Ouverte à toutes nouvelles saveurs,
    Irréfléchies, tolérantes ou raisonnées.

    Rien ne respire autant,
    Qu'un mariage d'amour,
    Qui sourit au beau temps,
    Et couvre au mieux les mauvais jours.

    Je t'aime mon amour.

    "Pauley Perett".

    Le plus beau jour "au pays des rêves"

     



    26 commentaires
  •  

     6 gîtes à la location 

    L'Orangerie du Château, située dans les communs qui entourent le château, offre un cadre idéal et prestigieux pour vos réceptions : mariages, fêtes de famille ou événements professionnels. Cette magnifique salle de plus de 200 m2 ,baignée de lumière, dispose d'une terrasse ensoleillée et fleurie qui donne sur le verger

    Le verger

    ************

    Le château de Talmay est un ensemble castral du XVIII e siècle, situé à Talmay , dans le département de la Côte d'Or 

    Le donjon, en blocs de pierre réguliers, suit un plan carré de 12 mètres de côté, et s’élève aujourd'hui à 54 mètres (avec toiture) Il a été construit entre 1250 et 1274 par Guillaume II, seigneur de Champlitte-Pontailler, que l'évêque de Langres, Robert de Thourotte, avait reconnu en 1234 seigneur de Talmay (au détriment de l'abbaye de Bèze) en échange d'une inféodation totale. Guillaume avait alors obtenu la reconnaissance de cette acquisition par le duc de Bourgogne, Hugues IV, et par le comte de Bourgogne, Othon, malgré l'opposition de l'abbaye de Bèze qui porta le contentieux jusqu'à Rome et demanda l'arbitrage du pape Innocent IV. Celui-ci statua en faveur de l'abbaye mais son avis resta lettre morte et Guillaume II fut confirmé seigneur de Talmay et dépendances (Heuilley, Maxilly ...). Ce château d'architecture gothique, est percé de huit fenêtres à meneaux, réparties sur deux façades de quatre étages, d'ouvertures de tirs tout autour d'un cinquième étage, et doté de huit bretècheet trois latrines, toutes d'origine, ainsi que de plusieurs autres petites fenêtres postérieures.
    La toiture du donjon, à quatre pans, est couverte d'ardoise et surmontée d'un clocheton 

    Le château moderne, d'architecture classique, suit un plan en U. Il se décompose en un  corps central, avec fronton sculpté, et deux ailes, tous construits avec de gros blocs de pierre jaune réguliers. L'entrée dans le bâtiment se fait par les façades avant et arrière du corps central, via deux escaliers à double volée en pierre. L'entrée arrière, donne sur une vaste terrasse, et permet d’accéder au jardin, par un escalier monumental en pierre, gardé par deux phinges en pierre sculptés. La façade avant est percée de quatre portes (trois permettant l'accès au sous-sol, et une permettant l'accès au corps principal), de vingt-sept fenêtres à la française, et de quatre lucarnes. La façade arrière est percée de deux portes (l'une sous l'escalier, permettant l'accès au sous-sol, et l'autre permettant l'accès au corps central), de vingt-quatre fenêtres à la française, et de quatre lucarnes. La façade à senestre est percée de dix fenêtres à la française et de deux lucarnes. La façade à dextre, attenante au donjon, est percée d'une porte, permettant l'accès aux cuisines, à la chapelle et à la tour, ainsi que de onze fenêtres à la française et 2  lucarnes . 

    Parc

    Le parc, d'une surface de sept hectares, est délimité par deux bras de la Vingeanne, un bief, dit du moulin et un saut d'un loup.

    Il se compose d'un jardins à la française, bordé par des haies de charmille, à l'arrière du château; d'un arrondi constitué par huit platanes de 1752, au milieu du parc ; d'un verger de 280 pommiers ,poiriers et pruniers, bordé de fleurs, devant la façade à senestre; ainsi que d'un jardin des simpleset d'un labyrinthe de buis, situé entre le verger et la façade du Château

    Le château de Talmay

     

     

     


    32 commentaires
  •  Vue d'avion

    porche d'entrée XVème siècle

      Chateau-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

      Chateau-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

      Chateau-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

       Tour quadrangulaire de flanquement et donjon

      Chateau-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

      batiment XVIIème où se situe la chambre de la cour

      Chateau-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

      Chateau-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

      Chateau-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

      Chateau-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

     

    Le château de Rosières est un manoir fortifié (ou maison forte) situé sur la commune de Saint-Seine-sur-Vingeanne (située à trois kilomètres du lieu), en Côte d'Or, à proximité de la Vingeanne (rivière) et de la départementale D38. 

    Le château fait l’objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 3 juin 1927 d’un classement depuis le 28 janvier 1930.

    Dès le XIe siècle le nom de Rosières apparaît dans différentes chartes. Il désigne alors une "grange", c'est-à-dire un domaine d'exploitation rurale attaché à une seigneurie. De provenance ducale, le fief de Rosières aurait été concédé en 1321 (ou 1320 ?) à la première famille porteuse du nom de Saint-Seine par Eudes IV, duc de Bourgogne, en échange de la grange d'Estaule (à Saint-Seine-Seine-sur Vingeanne). De 1321 à sa mort en 1350, Pierre de Saint-Seine bâtit le domaine. Au XVe siècle, pour faire face aux dangers que représentent les guerres incessantes qui ravagent la contrée, le manoir est fortifié avec l'agrément du duc. Il peut servir de refuge aux cultivateurs du domaine menacé. Le donjon semble ainsi avoir été terminé en 1445. En 1474, on parle de la "maison forte" de Rosières. Elle est alors possédée par Pierre et Guillaume de Saint-Seine. Les armoiries des Saint-Seine, peintes ou sculptées au XVe siècle, se retrouvent dans la bâtisse. Après plusieurs ventes et successions, le domaine revient en 1682 à Claude-Bernard de Maillard, marié à Anne-Reine Mallot du Bousquet. Celui-ci effectue divers réaménagements ponctuels à la fin du XXIIe siècle . On note ainsi la présence de ses armoiries et de celles de son épouse au sommet des profonds ébrasements de certaines baies. Il décide également la construction d'un pavillon classique à proximité de l'édifice médiéval. L'ensemble change encore de mains au XVIIIe siècle : il est la propriété de Claude Bernard, co-seigneur d'Attricourt qui l'achète en 1708, puis de Jean Verchère et Agnès de Richemont qui le reçoivent en donation (1728) et finalement, cinq ans plus tard, de Jean Chanteau, secrétaire à la chambre des comptes de Dôle qui l'achète en 1733. Au milieu du siècle, le château retourne à nouveau à la famille de Saint-Seine en la personne de Bénigne Le Gouz en (1752). En 1774, il demande à l'architecte Edme Verniquet (1727-1804) de remettre ce bâtiment au goût du jour. Du côté du midi Edme Verniquet réalisa une façade entre deux des quatre tours qui subsistait et une très belle contre-façade de style Louis XV sur le sud avec un avant-corps et un fronton triangulaire aux armes des Saint-Seine.

    Le château est finalement acheté en 1980 par la famille Bergerot. Les propriétaires actuels l'exploitent en chambres et table d'hôtes 

    Maintenant entouré de bâtiments d’exploitation agricole, le domaine de Rosières (manoir, basse-cour et communs) était autrefois entouré de murailles qui baignaient dans le fossé d'enceinte. On a aussi signalé un double rang de fossés et d'escarpement séparés par un terre-plein. Dans l'escarpe même du rempart, s'ouvrait un souterrain fermé d'une porte, maçonné en voûte de cave, et qui reliait, dit-on, Rosières à une maison de Saint Seine(?).

    Le principal élément de l'ancienne maison forte est un imposant donjon (21 m de long sur 13,50 m de large) des XIv e siècle et XVe siècle. Du fond des fossés subsistants jusqu'à la toiture, les murs, épais de 1,80 m, ont une hauteur de 19 m. Ce donjon "carré", bien préservé, présente tous les éléments caractéristiques des fortifications du Moyen Âge : ceinture de mâchicoulis en accolade à consoles formées d’un triple tore, chemin de ronde complet, échauguettes sur trois angles (il n'en subsiste qu'une de nos jours, à l'angle nord-ouest),meurtrières... Une grosse tour quadrangulaire (XIV e sicle renforce le quatrième angle (sud-ouest) du donjon. Aujourd'hui, cette dernière n'a plus sa haute toiture à 4 pans surmontée d'un lanternon qui lui donnait une allure de clocher pittoresque comme en témoignent les peintures murales du pavillon (XVII e siècle. Le donjon, lui, est couvert d'une toiture de pavillon à 4 pans reposant sur une magnifique charpente en chêne d'origine. Les combles sont très développés : hauteur de 12 m avec cheminée centrale comprenant 6 conduits.

    Le bâtiment abrite une très belle salle de réception avec une cheminée du XV e siècle et des baies et un plafond peint du XVIIe siècle. Dans ce donjon, on note aussi la présence d'une ancienne cuisine avec anneaux de suspension dans la voûte, de cheminées monumentales, d'un escalier à vis,... Il abrite surtout plusieurs chambres, aujourd'hui utilisées en chambres d'hôtes : la chambres "des ducs", entièrement refaite au XVII e siècle par les Maillard (alcôve en anse de panier, armoiries et tableaux peints sur les embrasures des fenêtres), une chambre du XVe siècle possédant un carrelage verni avec quatre couleurs différentes et une double porte d'entrée à plis de serviettes simples, une autre chambre du XV e siècle  avec cheminée, écusson à gaude de la Maison de Saint-Seine (mais fenêtre avec banc de pierre du XVII e siècle) ainsi qu'une dernière, du XVI e sicle, au sommet de la tour quadrangulaire de flanquement (fenêtre à meneau et plafond composé de poutres en chêne côte à côte). Cette dernière tour abrite une pièce, dite "la prison", avec 4 anneaux dans la voûte et 2 meurtrières.

    Le domaine de Rosières comprend également un colombier à pied (garni intérieurement de boulins), une porte charretière ouverte dans une tour fortifiée couverte d'une toiture de pavillon (du XV e siècle, elle était autrefois précédée d'un pont-levis), une chapelle, dite la "Saint-Georges", près de laquelle habitait un prêtre desservant ainsi que des divers bâtiments loués à des cultivateurs.

    Le pavillon du XVIIe siècle, construit par Claude-Bernard Maillard et sa femme Anne-Reine Maillot du Bousquet, est agrémenté de fresques. On y admire une vue du château au XVII e siècle ainsi que les armoiries des Maillard-Bousquet.

     Des jardins ont également été aménagés.

    "Ces photos n'ont pas été prise par moi , mais m'ont été prêté "

      Château-de-Rosieres-à-Seine-sur-Vingeanne

     

     

     

     

     


    36 commentaires
  •  

    La passante

    Quand la brise gonfle tes deux robes de soie,
    Tu ressembles à une déesse vêtue de nuages.
    Quand tu passes, les fleurs des mûriers te respirent.
    Quand tu emportes des lilas que tu as cueillis, ils tremblent de joie.

    Des cercles d'or étreignent tes chevilles.
    Des pierres bleues luisent à ta ceinture.
    Un oiseau de jade a fait son nid dans ta chevelure.
    Les roses de tes joues se mirent dans les perles immenses de ton collier.

    Quand tu me regardes, je vois couler le fleuve Yuen.
    Quant tu me parles, j'entends la musique du vent de mon pays.
    Quand un cavalier te rencontre, au crépuscule,
    Il croit que c'est déjà l'aurore et immobilise son cheval.

    Quand un mendiant t'aperçoit, il en oublie sa faim.

    "Tchang Won Kien"

    Au pays du sourire


    28 commentaires
  •  

    La véritable paix intérieure et la réussite de ses relations avec autrui se trouvent dans la capacité à se reposer afin de se ressourcer pour offrir le meilleur de soi-même, être au meilleur de soi!

    "Sagesse Chinoise" 

    Les jours d’accalmie et de repos sont comme des graines semées dans le jardin de la réussite et de l’apaisement de l’âme. »

    "Proverbe Chinois "

    Je vous souhaite un agréable week-end

     


    14 commentaires
https://youtube.com/clip/UgkxEvlgwfKtAMDUDQs9b-OL1TL1cPQnJwDb