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Par Matriarka64 le 22 Octobre 2013 à 06:14
Le centre catholique Albert-Decourtray encourage l’esprit d’ouverture, d’accueil et de recueillement. Son architecture reflète les principes catholiques, chers à celui qui a été l’évêque de Dijon.
Quand on lève les yeux, la croix se dessine dans le ciel plusieurs rues avant d’arriver au centre catholique Albert-Decourtray. Sur la place Granville, le bâtiment est mis en valeur par la grande esplanade qui lui fait face et s’apparente à un lieu de rassemblement.
Réunir. C’est bien ce que désirait Albert Decourtray, évêque de Dijon de 1971 à 1981. Le religieux était défini comme un homme d’ouverture et de dialogue. C’est justement ces deux principes qu’a voulu illustrer l’architecte Jean-François Picoche en construisant le centre. Car oui, il s’agit bien d’un centre et non juste d’une église.
Les 911 m² du bâtiment ont été construits pour accueillir un lieu de culte mais aussi des salles pour la pratique et l’enseignement de la religion catholique.
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Par Matriarka64 le 19 Octobre 2013 à 06:39
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Par Matriarka64 le 17 Octobre 2013 à 06:47
Le palais des ducs et des états de Bourgogne à Dijon en Côte-d'Or est un ensemble architectural comprenant plusieurs parties imbriquées : la plus ancienne est le palais ducal des XIVe siècle et XVe siècle, de style gothique, qui comprend encore un logis (bien visible depuis la place des Ducs), les cuisines ducales (cour de Bar) et deux tours : la tour de la terrasse, ou tour Philippe le Bon et la tour de Bar. La plus grande partie des bâtiments visibles aujourd'hui a cependant été bâtie aux XVIIe et surtout XVIIIe siècles, dans un style classique, avec le dessin de la place royale, aujourd'hui place de la Libération. Enfin, la façade du musée des Beaux-Arts, sur la place de la Sainte-Chapelle, a été élevée au XIXe siècle à l'emplacement de la Sainte-Chapelle de Dijon détruite en 1802. Cet ensemble, dans un remarquable état de conservation, témoigne de presque un millénaire de vie politique à Dijon.
Le Palais fut le siège des souverains de l'État bourguignon, les ducs de Bourgogne. Classé au titre des monuments historiques par la liste de 1862 et par arrêté de 19261, il abrite aujourd'hui la mairie de Dijon et le musée des Beaux-Arts de Dijon.
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Par Matriarka64 le 16 Octobre 2013 à 06:58
Fort de la redoute
Issue du regroupement, vers l'an 1000, de plusieurs villages, la paroisse de Saint-Apollinaire fut administrée par un officier de l'abbaye de Saint-Bénigne de Dijon, appelé le prieur de Saint-Apollinaire. Une église à chœur en cul-de-four et à bandes lombardes fut construite à cette époque vraisemblablement par Guillaume de Volpiano (qui construisait à cette époque la rotonde de son abbaye dans le même style) sur la base d'une ancienne chapelle attestée à l'époque carolingienne, mais dont la légende fait remonter sa construction à la reine Clotilde, épouse du roi franc Clovis Ier, à l'occasion de la victoire remportée en ce lieu, par ce roi, contre le roi burgonde Gondebaud lors de la bataille de Dijon (500 . La reine Clotilde aurait fait apporter, de Ravenne, des reliques du saint martyr Apollinaire de Ravenne et les aurait fait déposer dans cette basilique .
Cette église fut, au Moyen Âge, le lieu d'un pèlerinage autour de son puits miraculeux, dans lequel étaient plongées des semences ou des membres malades, et qui apportait, par l'intercession de saint Apollinaire, fécondité et guérison. Les reliques du saint étaient transportées par les moines de Saint-Bénigne dans toute la Bourgogne afin de promouvoir la Paix de Dieu.
Le prieuré de Saint-Apollinaire, localisé au nord de la rue du 11 novembre fut détruit lors des guerres de religion. La charge de prieur survécut cependant jusqu'au XVIIIe siècle.
Au XVe siècle, Jean de Martigny, procureur, fit fortifier un franc-alleu par construction d'une tour et la mise en place de fossés et d'un pont-levis, à l'origine de la mairie actuelle. Une tour hexagonale, emblème de la commune actuelle, fut édifiée par Guillaume Tabourot au XVIe siècle dans la cour. Le pont-levis fut détruit au XVIIIe siècle.
Le fort de la Redoute, situé à la limite entre les communes de Saint-Apollinaire et de Dijon, est aujourd'hui un lieu de promenade.
La statue du père Noé, dont l'origine reste mystérieuse, mais qui est attestée dès le XIXe siècle, a été récemment déplacée à l'extrémité orientale de la « coulée verte » afin de permettre la construction de plusieurs lotissements au sud de la ferme Sully, magnifique ferme du XVIe siècle.
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Par Matriarka64 le 15 Octobre 2013 à 06:14Parc de la Colombiere (Dijon)
Dans le parc ...
Dans le parc aux lointains voilés de brume, sous
Les grands arbres d’où tombe avec un bruit très doux
L’adieu des feuilles d’or parmi la solitude,
Sous le ciel pâlissant comme de lassitude,
Nous irons, si tu veux, jusqu’au soir, à pas lents,
Bercer l’été qui meurt dans nos coeurs indolents.
Nous marcherons parmi les muettes allées ;
Et cet amer parfum qu’ont les herbes foulées,
Et ce silence, et ce grand charme langoureux
Que verse en nous l’automne exquis et douloureux
Et qui sort des jardins, des bois, des eaux, des arbres
Et des parterres nus où grelottent les marbres,
Baignera doucement notre âme tout un jour,
Comme un mouchoir ancien qui sent encor l’amour.
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Par Matriarka64 le 13 Octobre 2013 à 06:51Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur
Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit
Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie
Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure.
Les Yeux d'Elsa (1942)
Citations de Louis Aragon
Read more at http://www.dicocitations.com/auteur/160/Louis_Aragon/160.php#4LxHKmjSupcLZYhV.99Je te touche et je vois ton corps et tu respires
Ce ne sont plus les jours du vivre séparés
C'est toi tu vas-tu viens et je suis ton empire
Pour le meilleur et le pire
Et jamais tu ne fus si lointaine à mon gré.
Cantique à Elsa (1942)
Citations de Louis Aragon
Read more at http://www.dicocitations.com/auteur/160/Louis_Aragon/160.php#xg1Sv9OMR5cwL5V5.99
Je te touche et je vois ton corps et tu respires
Ce ne sont plus les jours du vivre séparés
C'est toi tu vas-tu viens et je suis ton empire
Pour le meilleur et le pire
Et jamais tu ne fus si lointaine à mon gré.
Cantique à Elsa (1942)
Citations de Louis Aragon
Read more at http://www.dicocitations.com/auteur/160/Louis_Aragon/160.php#xg1Sv9OMR5cwL5V5.99Le jardin est une méditation à ciel ouvert, un secret révélé à qui le mérite.
Ghislaine Schoeller
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