« La vie est courte, le monde n'est qu'un rêve pour les oisifs; Seul le sot craint la mort, car qu'y a t-il de vivant Qui Tôt. ou tard ne meure ? L'homme

ne peut mourir qu'une fois; Que sa mort alors soit glorieuse.» - Oda Nobunaga -

« Par des chemins divers, les hommes peuvent gravir la montagne; Chaque sentier découvre des vues différentes, sublimes, Mais quand ils atteignent au

fier sommet. C'est la même Lune souriante qui charme leurs regards.» - Dr Kato -

« Dans l'esprit du Zen et du Budo, la vie quotidienne devient le lieu de combat. C'est à chaque instant qu'il faut être conscient, en se levant, en travaillant,

en mangeant, en se couchant. Là est la maîtrise ! » - Taisen Deshimaru -

« La rapidité ne fait pas partie de la vraie Voie de la stratégie. La rapidité implique que les choses paraissent rapides ou lentes selon le fait qu'elles sont,

ou non, dans le rythme. Quelle que soit la Voie, le maître stratège n'a pas l'air rapide » - Miyamoto Musashi -

A suivre

Allée allant au jardin

La sérénité du jardin japonais Au nord de la ville, dans le quartier de Pouilly, a été aménagé depuis peu, en partenariat avec la ville de Koshigaya au Japon, un petit

jardin de contemplation et de repos autour d’une pièce d’eau qu’entourent de belles masses de rhododendrons et d’azalées. Deux îles en forme de tortue et de grue représentent

les valeurs terrestres et célestes. L’eau de la cascade symbolise le temps qui passe, sur les rives, les conifères, dont certains taillés en « nuages » représentent, selon la tradition

japonaise, les demeures des dieux.Ce jardin de 7500 m² est le fruit d’une collaboration franco japonaise avec Koshigaya, ville partenaire de Dijon. Il offre une ambiance propice

au calme: accès par un monumental torii, petit lac avec île de la tortue et île de la grue, pavillon de thé. Au printemps, les délicates fleurs des pruniers aux 5 pétales évoquent les

5 dieux du bonheur. Le bambou, arbre incontournable, accompagne l’homme jusqu’à sa dernière demeure.

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A suivre

L'Habitat Médiéval des Bois de Cestres, en Côte  d'Or

Découverte et redécouvertes d'un site ( 1938- 2008)

Cabane surement ayant servie aux chercheurs

Inspection par ma belle-fille!

Four à pain

Escalade de Geoffoy (compagnon de ma petite fille)

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Nous avons du nous enfoncer sur près de 800 m dans les Bois de Cestres avant d'atteindre ,perdus dans les taillis, tout un ensemble de bâtiments tombés en ruine depuis plusieurs

siècles......découvert en 1938 par Gabriel Grimaud, président de la commission des Antiquités de la Côte d'Or ,évoque en 1939, le site qui l'année précédente ,

avait fait l'objet de deux sondages d'exploitation restés sans lendemain.

Retombé dans l'oubli, les vestiges sont revisités en 1961 pour le compte des Antiquités de Bourgogne: on voit ça et là des murs longs de plus de 10 m se recoupant

à Angles droits, qui délimitent d'anciennes habitations.... Ce souci d'inventaire resta sans suite . En 2001 lors d'une coupe de taillis sur la parcelle, on redécouvre le site.

Il suscite alors l'intérêt des responsables du développement du Pays de Saint-Seine et des chercheurs attirés par le gisement médiéval aux multiples potentialités.

Il peut s'agir des "Bordes Gaudot" dépendant de l'Abbaye de Saint-Seine, occupés au moins à partir de 1323 et déserté avant 1417. Le résultat des premiers sondages

archéologiques de 2003 et 2004 confirme la datation de la fin du moyen âge : un gisement constitué d'une dizaine de constructions  d'enclos et de cheminements

amorçant autour de l'habitat, les lignes majeures d'un espace d'exploitation fossilisé sous la forêt.

Il ressort qu'après découverte d'ossements ces habitations étaient occupés par des paysans aisés élevant bovins et porcs , on été retrouvé également pichets de table très

décorés , jattes évoquent le transport du lait .Boucles d'oreille , appliques de ceintures et même un double denier frappé à Paris sous Philippe IV le Bel ect......

Qu'ils soit fermiers, métayers locataires de leurs outils de travail ,les habitants des" Bordes des Bois de Cestres" ont eu des conditions de vie correctes .

Après avoir longé les champs nous allons rentrer à l'intérieur de la forêt

Nous rencontrons plusieurs mirador sur notre chemin , celui-ci va nous mener au cite archéologique médiéval "des Bois de Cestres"

Vu de la maison de ma petite fille

Saint-Seine-l'Abbaye, anciennement Saint-Seine-en-Montagne, est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or en région Bourgogne. Elle est traversée

        par l'Ougne.

Histoire

Antiquité / Route de l'ambre et de l'étain

Depuis la haute antiquité, Saint-Seine-l'Abbaye est un lieu stratégique, carrefour commercial important entre le nord de la France et les Flandres et les comptoirs romains ou grecs

du Midi.

Le village devient le siège d'une abbaye bénédictine fondée au VI^e siècle par Saint Sequanus (Saint-Seine).

Vers 731, la Burgondie et en particulier l'abbaye de St Seine est pillée et brûlée par le passage des Sarrasins.

La puissance monastique des moines s'étend peu à peu jusqu'à ce que Charles le Gros cède ses droits fonciers attenants au domaine (fiscus régius) sous la demande de Waremberg,

abbé de Saint-Seine, lors du passage du Roi en 886 à Langres.

Les Normands et les Hongrois lors de leur passage au IX^e siècle (888) ruinent à nouveau le pays.

Ravagée puis relevée en 981, l'abbaye connaît son apogée au XIII^e siècle.

Pendant plusieurs siècles, l'histoire du village de Saint-Seine se confond avec celle de son abbaye.